vendredi 2 décembre 2011

« El sueño del robot » – phrases 32-33

Los animales no van al cielo —se decía a sí mismo— ¿Por qué los humanos?

[il était nécessaire de les traiter en même temps, sous peine de devoir les re-modifier ensuite…]

Solution temporaire :
Puisque les animaux non plus ne vont pas au ciel – se disait-il intérieurement – pourquoi les humains y vont-ils ?

8 commentaires:

IRENE a dit…

Les animaux ne vont pas au paradis – se disait-il en lui même - alors,pourquoi les humains y vont?

Justine a dit…

Les animaux ne vont pas au ciel-se disait-il en lui même- Pourquoi les hommes y vont-ils?

Elena a dit…

Les animaux non plus ne vont pas au ciel - se disait-il en lui-même - Pourquoi les humains si ?

Tradabordo a dit…

Los animales no van al cielo —se decía a sí mismo— ¿Por qué los humanos?

- Elena : je trouve bien ton « non plus » ; il n'est pas en V.O., mais il est légitime, à mon avis.
- Là, ça ne se pose pas tellement… mais pour info : les « se disait-il », il vaut mieux passer par « songer », « se faire la réflexion », « penser »… car le verbe « dire », on en a généralement bien besoin dans les dialogues et même, on ne sait plus comment s'en débarrasser, le contourner, etc.
- attention au tiret entre lui ET même.
- L'histoire de « les humains oui » est une répétition… ; donc on devrait faire peut-être traiter cela de manière à montrer que non, décidément, il ne comprend pas cette inégalité / injustice.

Elena a dit…

Les animaux non plus ne vont pas au ciel - se disait-il en lui-même - Alors pourquoi les humains iraient-ils ?

Le "alors" d'Irène me semble bien... J'ai choisi un conditionnel pour marquer le fait qu'il ne comprend toujours pas.

Tradabordo a dit…

- je trouve que « se disait-il en lui-même » est redondant… Je vous propose « se disait-il intérieurement » à la place.
- « iraient-ils » ; non, là, tu forces le trait sur l'étonnement en laissant entendre qu'il estime que c'est injuste et que ça devrait cesser. Je trouvais bonne la traduction d'Irène « alors pourquoi les humains y vont-ils », mais cela nous fait répéter « alors » (que nous avons déjà dans le phrase précédente). Je me demande si cela ne résoudrait pas la question si on commençait la phrase par « puisque ». Cela donnerait :
Puisque les animaux non plus ne vont pas au ciel – se disait-il intérieurement – pourquoi les humains y vont-ils ?
Si vous validez, on peut passer à la suivante. J'attends…

Elena a dit…

Moi, quand on me dit d'insister : j'insiste ! ;-)))

Oui, c'est bien, je n'aimais pas, moi non plus, ce "en lui-même".

Elena a dit…

La 34 ?