on a déjà utiliser "tirer profit" dans "j'ai donc essayé de tirer profit de ce souvenir populaire pour le bénéfice de mon produit". Je propose donc "jouir de"
D'une certaine façon, cela méritait que l'on jouisse du hWord sans le payer, c'était une forme justice poétique.
Cf le 3) de mon premier commentaire pour la fin de la phrase. Tiens-en compte pour la reprise !
Julie : Je suis assez ok avec le « que l'on en jouisse » de Justine, qui, par ailleurs, évite effectivement une répétition. Mais ce morceau, il faut le garder en tête pour les relectures… – car personnellement, je n'en suis pas très contente.
En y réfléchissant bien, je me dis qu'on ne peut pas mettre de conditionnel ici, mais bel est bien de l'imparfait. En effet, ils utilisent le hWord via des cracks parce que c'est trop cher, donc ils en jouissent déjà sans le payer.
Je propose donc :
Ils méritaient bien que l'on jouisse du hWord sans payer, une forme de justice poétique.
Exceptionnellement, je fais le changement… - précisément parce que c'est une coquille (faite par moi), dans la mesure où jusque-là, nous étions effectivement à l'imparfait ; mais, comme je te l'ai déjà dit : quand la phrase a été jugée terminée, tu gardes tes éventuelles propositions de correction pour le moment des relectures… Ça laisse éventuellement le temps de réflexion et personnellement, je ne peux pas sans cesse revenir en arrière. Trop de travail.
12 commentaires:
J'ai traduit la fin par "c'était en quelque sorte une...", car on a déjà "le hWord est une sorte de co-auteur" au début.
D'une certaine façon, cela méritait que l'on se serve du hWord sans le payer, c'était en quelque sorte une justice poétique.
De algún modo se merecía que usara el hWord sin pagarlo, era una suerte de justicia poética.
1) Je ne comprends pas… Tu as fait exprès de répéter ? C'est ça ? Si c'est le cas, je ne vois pas pourquoi…
2) « servir » ?
3) La fin :
, une forme de justice poétique – ça suffira largement.
2)"se servir" était pour éviter "utiliser"
D'une certaine façon, cela méritait que l'on use du hWord sans le payer, c'était une forme justice poétique.
Non « use » ne va pas du tout. Allons vers « profiter ».
on a déjà utiliser "tirer profit" dans "j'ai donc essayé de tirer profit de ce souvenir populaire pour le bénéfice de mon produit". Je propose donc "jouir de"
D'une certaine façon, cela méritait que l'on jouisse du hWord sans le payer, c'était une forme justice poétique.
"Tirer profit" était en début de texte il me semble, puisque c'était Catalano qui présentait son produit.
On pourrait donc garder "profiter" ici, non?
D'une certaine façon, cela méritait que l'on profite du hWord sans le payer, c'était une forme justice poétique.
Justine :
Cf le 3) de mon premier commentaire pour la fin de la phrase. Tiens-en compte pour la reprise !
Julie :
Je suis assez ok avec le « que l'on en jouisse » de Justine, qui, par ailleurs, évite effectivement une répétition. Mais ce morceau, il faut le garder en tête pour les relectures… – car personnellement, je n'en suis pas très contente.
Pour l'instant, cela donne :
D'une certaine façon, cela méritait que l'on jouisse du hWord sans le payer, une forme de justice poétique.
D'une certaine façon, cela méritait que l'on jouisse du hWord sans le payer, une forme de justice poétique.
Un léger changement améliorera les choses, à mon avis :
D'une certaine façon, ils mériteraient que l'on jouisse du hWord sans le payer – une forme de justice poétique.
On est d'accord ?
Oui, c'est bien mieux !
En y réfléchissant bien, je me dis qu'on ne peut pas mettre de conditionnel ici, mais bel est bien de l'imparfait. En effet, ils utilisent le hWord via des cracks parce que c'est trop cher, donc ils en jouissent déjà sans le payer.
Je propose donc :
Ils méritaient bien que l'on jouisse du hWord sans payer, une forme de justice poétique.
Exceptionnellement, je fais le changement… - précisément parce que c'est une coquille (faite par moi), dans la mesure où jusque-là, nous étions effectivement à l'imparfait ; mais, comme je te l'ai déjà dit : quand la phrase a été jugée terminée, tu gardes tes éventuelles propositions de correction pour le moment des relectures… Ça laisse éventuellement le temps de réflexion et personnellement, je ne peux pas sans cesse revenir en arrière. Trop de travail.
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