lundi 2 janvier 2012

Les Jupiter – Phrase 9

—Es como tener a todos esos genios como tutores —interrumpió el entrevistador.

Traduction temporaire :
— C’est en somme comme si on avait tous ces génies pour tuteurs – interrompit l'intervieweur.

6 commentaires:

Justine a dit…

— Cela revient à avoir tous ces génies comme tuteurs — interrompit le chroniqueur.

Julie Sanchez a dit…

— C’est comme si on avait tous ces génies pour tuteurs – interrompit le journaliste.

Hem, je sais que le "c'est" en début de phrase est à éviter.
Le "cela revient à" de Justine est donc préférable.

Justine a dit…

est-ce que "chroniqueur" convient, pour éviter de répéter "journaliste" ?

Tradabordo a dit…

—Es como tener a todos esos genios como tutores —interrumpió el entrevistador.

1) Julie :
Le problème avec « c'est… » n'est pas qu'il n'en faut pas, en début de phrase par exemple… mais qu'il faut éviter que ça devienne un tic. En l'occurrence, il me semble très bien, précisément parce que ça n'est pas du récit, mais un dialogue.
2) Justine :
Non.
D'une part parce que ça veut dire qu'avec une telle logique, tu te condamnerais à devoir trouver un synonyme différent à chaque fois. Impossible et terriblement artificiel.
D'autre part parce que ça n'est pas la même chose. Un journaliste n'est pas forcément un « chroniqueur ».
Il faut faire attention aux répétitions « disgracieuses », mais ne pas devenir obsédé.

Je récapitule :
— C’est EN SOMME comme si on avait tous ces génies pour tuteurs – interrompit le journaliste.

Vous validez ?

Julie Sanchez a dit…

Ah oui, en somme! C'est bien ça!
Je valide.

Justine a dit…

— C’est en somme comme si on avait tous ces génies pour tuteurs – interrompit le journaliste.

Je suis d'accord avec cette proposition.