jeudi 19 janvier 2012

Les Supernovas – phrases 24-28

Entonces vienen a mí. El ritual es muy sencillo. Demostrada la culpabilidad, los sacan rápidamente del Tribunal y me los traen. En este planeta no hay cárceles, sólo salas de espera. Yo los aguardo algo inquieto, con ese cosquilleo de entusiasmo que siempre me provoca la anticipación de mi obra.

Traduction temporaire :
C'est donc vers moi qu'ils viennent. Le rituel est très simple. Leur culpabilité établie, on les presse de sortir du Tribunal et on me les amène. Sur cette planète, il n’y a pas de prisons, seulement des salles d’attente. Moi, je patiente, légèrement excité, avec ce chatouillement d’enthousiasme qui naît toujours en moi à l'idée du travail qui m'attend.

10 commentaires:

perrine a dit…

C’est donc vers moi qu’ils viennent. Le rituel est très simple. Une fois la culpabilité prouvée, on les fait rapidement sortir du Tribunal et on me les amène. Sur cette planète, il n’y a pas de prisons, mais seulement des salles d’attente. Moi je patiente, légèrement excité, avec ce chatouillement d’enthousiasme que provoque toujours en moi l’anticipation de mon travail.

Tradabordo a dit…

Entonces vienen a mí. El ritual es muy sencillo. Demostrada la culpabilidad, los sacan rápidamente del Tribunal y me los traen. En este planeta no hay cárceles, sólo salas de espera. Yo los aguardo algo inquieto, con ese cosquilleo de entusiasmo que siempre me provoca la anticipación de mi obra.

1) Ah, tu interprètes « Entonces » comme « donc » et non comme « alors »… ? Je ne suis pas contre, mais argumente – car là, tu tires vraiment l'interprétation. Je répète que je ne suis pas contre, mais que je prends des précautions pour qu'on évite le CS. D'ailleurs, si les autres Supernovas passaient dans les parages pour nous donne leur avis, ce serait pas mal… On entend peu Olivier, au fait.

2) Je crois qu'il vaut mieux dire : « une fois la culpabilité établie ». Vérifie les occurrences sur Google.

3) Débrouille-toi pour que je n'ai pas « FAIRE sortir »

Réglons déjà ça et on verra la suite après.

Tradabordo a dit…

Olivier rencontre des problèmes techniques pour poster ses commentaires – que j'ai donc reçus par mail et que je mets ici :

1) rejoignant Caroline, je comprends davantage le terme entonces dans sa dimension temporelle : "alors",
2) plus d'occurence pour la formule "culpabilité établie",
3) presser ?

C'est alors qu'ils viennent vers moi. Le rituel est très simple. Leur culpabilité établie, on les presse à sortir du Tribunal et on me les amène. Sur cette planète, il n’y a pas de prisons, seulement des salles d’attente. Moi je patiente, légèrement excité, avec ce fourmillement d’enthousiasme qui, toujours, à l'idée du travail qui m'attend, naît en moi.

Tradabordo a dit…

Sur cette histoire de « donc » et « alors », je crois qu'il est bon que nous ayons tous les avis – on va attendre de savoir ce qu'en pense Vanessa.

- Presser ; oui… pourquoi pas ; mais je crois que là, c'est mal construit (avec le A derrière ; A ou DE ?). Je ne suis pas certaine mais je crois que ça ne peut pas s'employer comme ça. Vérifie. Au moins, aujourd'hui, nous aurons appris quelque chose.

Sinon, j'avais pensé à évacuer… mais il faut vérifier le sens ; est-ce uniquement en cas d'incendie, etc.

Oui, Olivier a raison, là, d'enlever le « mais » avant « seulement des salles d'attente »

Perrine : à partir d'enthousiasme, c'est à peu près du charabia.

Olivier, pour la même section
Je trouve bien de passer par « à l'aidée »… mais je n'aime pas beaucoup la syntaxe… avec toutes ces virgules, toutes ces ruptures. Essaie de voir si tu peux rassembler un peu tout ça.

Vous avez tous les deux oublié qu'entre « moi » et « je », on met une virgule.

Perrine a raison « coquilleo » = chatouillement…

perrine a dit…

1) J'interprète "entonces" comme "donc" et je m'explique : il fait très bien son travail, il est utile à la société, il est le bras armé de la Justice, donc c'est vers lui qu'on se tourne pour toutes ces qualités.
2) Après vérification, le verbe presser se construit avec la préposition "de".
Quant à "évacuer", il est soit employé pour quitter un lieu dans lequel il est dangereux de rester, soit pour partir d'un lieu en masse ; je pense qu'il ne va pas dans ce contexte, car nous ne savons pas s'ils sont nombreux à quitter le tribunal.
3) Pour la dernière phrase, j'ai juste changé un peu l'ordre de la proposition d'Olivier : Moi, je patiente, légèrement excité, avec ce chatouillement d’enthousiasme qui naît toujours en moi à l'idée du travail qui m'attend.

Tradabordo a dit…

1) Convaincant…
Attentons l'avis de Vanessa pour définitivement trancher.

2) OK, donc « presser de ». Adopté !

3) OK pour tes modifs.

Donc, quand Vanessa aura donné sa version du « entonces », on récapitulera à partir de ce que tu proposes, Perrine, dans ton dernier commentaire.

El Oli a dit…

1) Perrine a su me convaincre. Je donne donc mon accord pour le "donc".

2) "Presser", défendu par ma personne, corrigé par Perrine... Adopté !

3) Il est vrai que la phrase, ainsi construite, est, plus digeste et, d'un point de vue syntaxique, nettement plus harmonieuse.

Attendons l'avis de Vanessa...

Tradabordo a dit…

Bon, mais là… nous sommes 3 sur une équipe de 4 ; je pense qu'on peut entériner. Bravo Perrine !

Maintenant, j'attends juste que l'un d'entre vous récapitule (que je n'ai plus qu'à copier / coller dans le post et dans le doc général) et nous enchaînerons.

Vanessa a dit…

Me voilà !

Je suis d'accord pour "donc", convaincue aussi par l'argumentation de Perrine.

Si je peux me permettre, je récapitule (même si je n'ai pas participé à cette phrase.) J'espère que j'ai bien compris tous vos commentaires et que je n'omets rien...


C'est donc vers moi qu'ils viennent. Le rituel est très simple. Leur culpabilité établie, on les presse de sortir du Tribunal et on me les amène. Sur cette planète, il n’y a pas de prisons, seulement des salles d’attente. Moi, je patiente, légèrement excité, avec ce chatouillement d’enthousiasme qui naît toujours en moi à l'idée du travail qui m'attend.

Tradabordo a dit…

Permets-toi, permets-toi… Merci, Vanessa.