El hombre quedó mirando a los dos jóvenes sonriendo irónicamente.
Traduction temporaire :
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
17 commentaires:
L'homme garda les yeux braqués sur les deux jeunes gens qui souriaient ironiquement.
« les yeux braqués », ça n'était pas dans ce texte ? Je confonds… Vérifie quand même.
Ce sont les garçons ou l'homme qui sourit ?
Non, c'était dans les Ollantay 1.
Je me suis posé la question, par la suite, il est étonné de leur réaction et veut se venger. Du coup, j'ai un doute.
Oui, c'est sans doute que c'est les garçons. On verra ce que Perrine en pense ; c'est aussi l'avantage de travailler à plusieurs.
L'homme garda les yeux braqués sur les deux jeunes gens qui souriaient ironiquement.
Attention à ces virgules avant ce genre de « qui ». Ça revient régulièrement
Je te propose :
L'homme garda les yeux braqués sur les deux jeunes gens, qui affichaient un sourire ironique.
OK ?
L'homme garda les yeux braqués sur les deux jeunes gens, qui affichaient un sourire ironique.
OK.
Perrine ?
Moi je pense que c'est l'homme qui sourit ironiquement, car il est intrigué par la réaction des frères, et que précédemment il les regardait d'un air moqueur.
Je ne suis pas trop pour "les jeunes gens", d'autant plus qu'on a "gens" juste au-dessus.
L'homme garda les yeux braqués sur les deux garçons en souriant ironiquement.
Je ne sais pas, Perrine. J'avoue que je l'ai compris comme toi, au début… Et puis j'ai été sensible à l'argument de Justine : le gars est vexé de s'être fait moucher par les deux « indigènes » ; raison pour laquelle, après, il décide de se venger. Voulez-vous qu'on demande à Elena ? Il n'est jamais mauvais d'avoir l'avis d'un hispanophone de langue maternelle.
Oui, bonne idée, voyons ce qu'Elena en pense.
Je viens de lui écrire !
Bonjour !
Je pense que c'est le monsieur qui sourit. Il est vrai que ce n'est pas facile à comprendre, on dirait qu'il manque une virgule avant "sonriendo", ou bien que le gérondif aurait pu être réfléchi : "sonriéndose".
La première image qui me vient à l'esprit : un monsieur qui sourit (pas forcément ironiquement) incrédule et presque fâché, mais en même temps, comme il veut les gruger, il se garde bien de le montrer.
Bon… du coup, je me demande si on ne devrait pas le déplacer dans la phrase.
Merci, Elena.
Merci Elena.
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
« aux lèvres » ou « sur les lèvres ». Vérifie.
C'est bien « aux lèvres ».
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
Un sourire ironique aux lèvres, l'homme garda les yeux braqués sur les garçons.
OK.
Perrine ?
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