Algunos se atrevieron a especular que el hechicero nunca había salido del pueblo sino que había sido devorado por las ratas y otros decían que sus conjuros hicieron que sólo en ese pueblo desértico existieran tal cantidad de ratas feroces.
Traduction temporaire :
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que l'extraordinaire quantité de rats féroces que comptait ce village désertique était due à ses formules magiques.
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que l'extraordinaire quantité de rats féroces que comptait ce village désertique était due à ses formules magiques.
14 commentaires:
Algunos se atrevieron a especular que el hechicero nunca había salido del pueblo sino que había sido devorado por las ratas y otros decían que sus conjuros hicieron que sólo en ese pueblo desértico existieran tal cantidad de ratas feroces.
Certains conjecturèrent que le sorcier n'avait jamais quitté le village et qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que grâce à ses maléfices, il avait fait en sorte que ce village désertique soit le seul à compter autant de rats féroces.
« conjecturèrent » ou « émirent l'hypothèse » (le cas échéant, il faut regarder avant si nous n'avons pas déjà « hypothèse »).
Je propose : « qu'en fait non, il n'avait pas… »
On n'a pas "hypothèse".
Je n'ai pas compris où il faut le "caser" : « qu'en fait non, il n'avait pas… »
À la place de « que le sorcier n'avait jamais quitté le village »
Ah, mais dans ce cas, j'ai un doute : dans la phrase précédente "le sorcier" n'est pas mentionné… Ça donnerait :
Il y en eut même pour imaginer que cette cabane renfermait une sorte de reine, le plus gros de tous les rats, de la taille d’un homme, qui sortirait pour exterminer les villageois.
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, il n'avait pas quitté le village et qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que grâce à ses maléfices, il avait fait en sorte que ce village désertique soit le seul à compter autant de rats féroces.
« Le sorcier » à la place de « il »
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village et qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que grâce à ses maléfices, il avait fait en sorte que ce village désertique soit le seul à compter autant de rats féroces.
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village et qu'il avait été dévoré par les rats.
Quelques modifs pour ce morceau :
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats.
OK ?
D'autres affirmaient que grâce à ses maléfices, il avait fait en sorte que ce village désertique soit le seul à compter autant de rats féroces.
« grâce à » – à changer
« maléfices » je ne suis pas certaine que ce soit le terme le plus adapté ici.
Pour le reste, c'est trop bancal. À reprendre.
1) J'avais choisi "maléfices" pour éviter le mot "sortilèges" que nous avions déjà employé. Mais effectivement, "conjuros" porte une autre nuance de sens. Il faut donc changer.
2) Dans la seconde phrase, j'ai rendu l'adverbe "sólo" par l'adjectif "extraordinaire". Dans le même ordre d'idées, nous disposons aussi d'"inouï".
3) La répétition de "rats" est-elle gênante ? Si oui, nous pourrions passer par : "l'extraordinaire quantité de ces animaux / rongeurs féroces".
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que l'extraordinaire quantité de rats féroces que comptait ce village désertique était due à ses exhortations.
Pour "sortilège" : incantation ou formule magique ?
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que ses formules magiques avaient donné lieu à l'extraordinaire quantité de rats féroces qui hantaient uniquement ce village désertique.
ou : qui avaient élu domicile exclusivement dans ce village désertique.
Je trouve pas mal la syntaxe proposée par Laëtitia, mais j'hésite pour :
exhortations / formules magiques.
Qu'en pensez-vous ?
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que l'extraordinaire quantité de rats féroces que comptait ce village désertique était due à ses formules magiques.
Je préfère "formules magiques", ça fait plus sorcier et moins prêtre. Enfin, pour moi…
Laëtitia ?
OK !
Certains émirent l'hypothèse qu'en fait non, le sorcier n'avait pas quitté le village, qu'il avait été dévoré par les rats. D'autres affirmaient que l'extraordinaire quantité de rats féroces que comptait ce village désertique était due à ses formules magiques.
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