Entonces, poco a poco nuestras dudas fueron desapareciendo, porque sabíamos lo sagrada que era tu madre para ti, que con ella nunca te jugabas. Y continuaste.
Traduction temporaire :
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
9 commentaires:
Après ça, petit à petit, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait bien à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as repris.
On a déjà "continuer" plusieurs fois dans le texte.
Après ça, petit à petit [ou « peu à peu »], nos doutes ont disparu, parce qu'on savait bien [pas besoin] à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as repris [ou « poursuivre » ?].
Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Il y avait un petit truc que je ne trouvais pas naturel ; je vous propose :
Après ça, peu à peu, on a arrêté de douter, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
OK ?
Après ça, peu à peu, on a arrêté de douter, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
On a déjà pas mal de fois "arrêter" dans les phrases précédentes... Je tente autre chose :
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
OK.
Julie ?
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Ok :)
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.
Ok!
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