Era como si lo estuvieran demoliendo: cada una de las células que durante ochenta y dos años había confluido en ese mismo espacio para darle forma a don Arturo, ahora se desprendía de él.
Traduction temporaire :
C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.
C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.
4 commentaires:
C’était comme s’ils étaient en train de le détruire : chacune des cellules qui, pendant quatre-vingt-deux ans, s’étaient réunies dans ce même espace pour donner une forme à don Arturo, se séparait de lui à présent.
C’était comme s’ils étaient en train de le détruire [je pense qu'il y a mieux dans ce contexte] : chacune des cellules qui, pendant quatre-vingt-deux ans [ou avec « quatre-vint-deux ans durant » ?], s’étaient réunies [« rejointes » ?] dans ce même espace pour donner une [est-ce qu'on ne peut pas supprimer « une » ?] forme à don Arturo, se séparait de lui à présent [je crois qu'on a déjà « à présent » ; vérifie + à placer ailleurs].
C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.
C’était comme s’ils étaient en train de l’anéantir : chacune des cellules qui, quatre-vingt-deux ans durant, s’étaient rejointes dans ce même espace pour donner forme à don Arturo, se séparait désormais de lui.
OK.
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