Lo raro era que a pesar de todo le resultaba natural ser consciente. Se le habían apagado los músculos, la sensación del pelo erizado, el tic de doblar el cuello.
Traduction temporaire :
Curieusement, être conscient lui semblait quand même naturel. Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
Curieusement, être conscient lui semblait quand même naturel. Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
6 commentaires:
Ce qui était étrange, c’était que malgré tout, cela finissait par lui sembler naturel d’être conscient. Ses muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
Ce qui était étrange, c’était que malgré [encore une phrase avec « ce que » + « c'était » ; ça devient embêtant… Vois si tu arrives à faire sans aucun des deux… et sans pour autant tomber dans quelques chose d'artificiel] tout [une autre solution que « malgré tout » – pour éviter « tout » ?], cela finissait [pas sûre qu'il y ait cette idée de « finir »] par lui sembler naturel d’être conscient [je me demande si le mieux ne serait pas de carrément commencer par « être conscient » ; vois ce que ça pourrait donner]. Ses muscles [tu as changé ; reviens à la V.O.], la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
Être conscient lui semblait néanmoins naturel, ce qui était étrange. Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
Être conscient lui semblait néanmoins naturel, ce qui était étrange.
Je te propose :
Curieusement, être conscient lui semblait quand même naturel.
OK ?
Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier [un doute pour le verbe… Visualise ce qu'il fait et demande-toi si c'est le plus adapté] son cou, tout cela avait disparu.
Curieusement, être conscient lui semblait quand même naturel. Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
Je ne vois pas autre chose pour « doblar el cuello », mis à part quelque chose comme « hocher la tête ».
Curieusement, être conscient lui semblait quand même naturel. Les muscles, la sensation des poils qui se hérissent, le tic de plier son cou, tout cela avait disparu.
OK.
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