Sus dos hijos estaban sentados a los pies de la cama; Leonor le sostenía una mano. Afuera, en el pasillo, la voz de los nietos, las nueras, el hijo de Rodolfo que había viajado desde Santa Fe.
Traduction temporaire :
Ses deux fils étaient assis au pied de son lit ; Leonor, elle, lui tenait la main. Dehors, dans le couloir, la voix de ses petits-enfants, de ses belles-filles, du fils de Rodolfo, qui avait fait le déplacement depuis Santa Fe.
Ses deux fils étaient assis au pied de son lit ; Leonor, elle, lui tenait la main. Dehors, dans le couloir, la voix de ses petits-enfants, de ses belles-filles, du fils de Rodolfo, qui avait fait le déplacement depuis Santa Fe.
4 commentaires:
Ses deux fils étaient assis au pied du lit ; Leonor lui tenait une main. Dehors, dans le couloir, la voix des petits-enfants, les belles-filles, le fils de Rodolfo qui avait fait le voyage depuis Santa Fe.
Ses deux fils étaient assis au pied du [ou « de son » ?] lit ; Leonor [cheville : « , elle, » ou cela te semble-t-il inutile ?] lui tenait une [« la » ?] main. Dehors, dans le couloir, la voix des [possessif ?] petits-enfants, les belles-filles [idem ?], le [« du » ?] fils de Rodolfo [virgule] qui avait fait le voyage [« déplacement » ?] depuis Santa Fe.
Ses deux fils étaient assis au pied de son lit ; Leonor, elle, lui tenait la main. Dehors, dans le couloir, la voix de ses petits-enfants, de ses belles-filles, du fils de Rodolfo, qui avait fait le déplacement depuis Santa Fe.
Ses deux fils étaient assis au pied de son lit ; Leonor, elle, lui tenait la main. Dehors, dans le couloir, la voix de ses petits-enfants, de ses belles-filles, du fils de Rodolfo, qui avait fait le déplacement depuis Santa Fe.
OK.
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