lundi 26 novembre 2012

Projet Céline 2 – phrases 33-35

Escuchó a sus hijos darse aliento; sintió que Leonor le besaba los labios. Lo último que percibió fueron las voces en el pasillo. Más tarde abrieron la puerta de la habitación, lo subieron a una camilla,  lo taparon hasta la cabeza.

Traduction temporaire :
Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor déposait un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été l’ultime son qui était parvenu jusqu’à lui. Plus tard,  on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor l’avait embrassé sur les lèvres. La dernière chose qu’il avait perçue avait été les voix dans le couloir. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, on l’avait couvert jusqu’à la tête.

Tradabordo a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor l’avait embrassé [ou « déposer un baiser » ? Comme tu veux…] sur les lèvres. La dernière chose qu’il avait perçue avait été les voix dans le couloir [inverse la syntaxe ; ça permettra de simplifier]. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, [« et » ?] on l’avait couvert jusqu’à la tête [ou « tête comprise » ?].

Unknown a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor avait déposé un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été la dernière chose qu’il avait perçue. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

Tradabordo a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor avait déposé [temps] un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été la dernière [« ultime » ; pour éviter la répétition avec phrase précédente + plus « tragique »] chose [bof] qu’il avait perçue. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

Unknown a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor déposait un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été l’ultime son qu’il avait perçu. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

Tradabordo a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor déposait un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été l’ultime son qu’il avait perçu [avec « parvenu jusqu'à lui », pour éviter qu'on repère gros comme une maison que tu as contourné la répétition avec « entendre » ?]. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

Unknown a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor déposait un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été l’ultime son qui était parvenu jusqu’à lui. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

Tradabordo a dit…

Il avait entendu ses enfants se donner du courage ; il avait senti que Leonor déposait un baiser sur ses lèvres. Les voix dans le couloir avaient été l’ultime son qui était parvenu jusqu’à lui. Plus tard, on avait ouvert la porte de la chambre, on l’avait hissé sur un brancard, et on l’avait couvert, tête comprise.

OK.