––Si esta pólvora es muerte, quiero que sea mi propia muerte, agregaba; quiero, además, que sea mi vida y la vida de los otros, quiero venderla, quiero venderme, ella es mi respiración y mi alma, me contiene y la contengo, la echo de mí, pegada a mis sudores y mi sangre; no hay nada más verdadero.–
Traduction temporaire :
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me contient et je la contiens, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me contient et je la contiens, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
6 commentaires:
––Si esta pólvora es muerte, quiero que sea mi propia muerte, agregaba;
quiero, además, que sea mi vida y la vida de los otros, quiero venderla,
quiero venderme, ella es mi respiración y mi alma,
me contiene y la contengo, la echo de mí, pegada a
mis sudores y mi sangre; no hay nada más verdadero.–
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ;
je veux, en plus, qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre,
je veux me vendre, elle est ma respiration et mon âme,
elle me contient et je la contiens, [on a "il faut la contenir" dans la phrase précédente,
il faudrait le remplacer par "sangler" pour "embridarla"] je la sors de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ;
il n'y a rien de plus authentique.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort [ou « ma mort à moi » ? Je te laisse trancher], ajoutait-il ; je veux, en plus [mal dit], qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre, [point-virgule ?] elle est ma respiration et mon âme, elle me contient et je la contiens, [on a "il faut la contenir" dans la phrase précédente ; il faudrait le remplacer par "sangler" pour "embridarla" ; SURTOUT, J'AI UN DOUTE POUR « CONTENER »… VÉRIFIE BIEN LE SENS] je la sors [avec « extraire » ; essaie] de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus authentique [pourquoi pas une trad littérale ?].
il n'y a rien de plus authentique.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me renferme et je la renferme, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me renferme [est-ce que ça n'est pas dans le sens de « brider » ; j'ai une grosse hésitation. Demande son avis à Elena et dis-moi] et je la renferme, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me contient [Elena pense que c'est dans le sens d'être composé de, faire partie] et je la contiens, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
Si cette poudre, c'est la mort, je veux qu'elle soit ma propre mort, ajoutait-il ; je veux aussi qu'elle soit ma vie et la vie des autres, je veux la vendre, je veux me vendre ; elle est ma respiration et mon âme, elle me contient et je la contiens, je l'extrais de mon corps, collée à ma sueur et à mon sang ; il n'y a rien de plus véritable.
OK.
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