Sí, en la universidad se abren cursos intensivos especiales, servidos por milicos y ex presidiarios para quienes las cárceles y presidios se han abierto, esperando al contingente de los que, a pesar de todo, siguen pensando.
Traduction temporaire :
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des soudards et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, et qui attendent le contingent de ceux qui, en dépit de tout, continuent à penser.
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des soudards et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, et qui attendent le contingent de ceux qui, en dépit de tout, continuent à penser.
4 commentaires:
J'ai un doute sur le sujet de "esperando" ("milicos y ex presidiarios" ou "cárceles y presidios" ?)
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des militaires et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, et qui attendent le contingent de ceux qui, malgré tout, continuent à penser.
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des militaires [pas un terme un peu familier pour dire cela ?] et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, [j'hésite sur cette virgule] et qui attendent [ah oui… tu veux dire que ce sont peut-être les prisons qui attendent les autres… Si tu as vraiment un doute, tu devrais demander à Elena. Un œil extérieur d'hispanophone devrait nous aider] le contingent de ceux qui, malgré [ou « en dépit »] tout, continuent à penser.
- D'après Elena, "esperan" fonctionne avec "cursos". Du coup, mieux vaut peut-être conserver la virgule devant "et qui attendent" ?
- En cherchant, j'ai trouvé soudard... (je pensais à bidasse, mais c'est vraiment le soldat de base...).
Donc:
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des soudards et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, et qui attendent le contingent de ceux qui, en dépit de tout, continuent à penser.
Oui, à l’université, on propose des cours intensifs spéciaux, assurés par des soudards et ex-forçats pour qui les prisons et les bagnes se sont ouverts, et qui attendent le contingent de ceux qui, en dépit de tout, continuent à penser.
OK.
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