Ella murió joven, a los treinta y cinco años. Nunca pudo dar a conocer su obra. Las editoriales le rechazaban sus escritos, por incompetentes, decían, “por no estar a la altura de los grandes escritores de nuestros tiempos”.
Traduction temporaire :
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs incompétents rejetaient ses écrits, ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs incompétents rejetaient ses écrits, ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
13 commentaires:
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu donner à connaître son œuvre. Les éditeurs lui refusaient ses écrits car ils étaient mauvais, disaient-ils, « car ils n’étaient pas à la hauteur des grands écrivains d’aujourd’hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu donner à connaître [mal dit] son œuvre. Les éditeurs lui refusaient [incorrect] ses écrits car ils étaient mauvais [CS ; tu travailles trop vite], disaient-ils [avec le CS], « car ils n’étaient [temps] pas à la hauteur des grands écrivains d’aujourd’hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs rejetaient ses écrits faute de compétences, disait-on, « faute d'être à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs rejetaient ses écrits faute de compétences [« por incompetentes »], disait-on [CS], « faute [non… tu ne peux pas répéter] d'être à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Du coup, je doute : c'est bien les livres qui sont "incompetentes" ?
Je ne comprends pas non plus pour le "decían" ?
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs rejetaient ses écrits car ils étaient incompétents, disait-ils, « car ils n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Du coup, je doute : c'est bien les livres qui sont "incompetentes" ? NON… « Los editoriales »
Je ne comprends pas non plus pour le "decían" ? Du coup, ça, ce sera plus logique ;-)
Reprends.
Ah.
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs rejetaient ses écrits car ils étaient incompétents, ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs rejetaient ses écrits car ils étaient incompétents [avance l'adjectif ; ça te permettra de simplifier], ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs incompétents rejetaient ses écrits, ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Je reste quand-même perplexe... Pourquoi cette virgule après "decían" et la répétition de "por" ?
Écoute, tu me mets un doute… Demande son avis à Elena.
Ok, je lui demande...
Sa réponse :
J'ai dû lire l'histoire pour comprendre... :-\ Je pense qu'il fait référence aux "éditoriales", parce que finalement, il réussit à publier son œuvre, la même, et que la fin est une espèce de revanche.
Alors d'accord !
Elle est morte jeune, à trente-cinq ans. Elle n'a jamais pu faire connaître son œuvre. Les éditeurs incompétents rejetaient ses écrits, ils disaient qu'ils « n'étaient pas à la hauteur des grands écrivains d'aujourd'hui ».
Compliqué, en effet… Le cas échéant, on y reviendra au moment de la relecture.
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