vendredi 1 mars 2013

Projet Céline 4 – phrase 2

No era necesario ser un experto para saber que el poncho y los pantalones negros de bayeta eran serranos, con toda seguridad habrían muchas versiones de él, claro que sí, su inmemorial necesidad de venganza había brotado como una hidra devastadora, ya Laura me lo aclararía después, pero para alguien de referencias tan completamente urbanas como era yo en aquellos días, el hombrecillo de yeso simplemente iba vestido con algún traje típico del altiplano.

Traduction temporaire :
Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne. Nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions ; tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait surgi comme une hydre dévastatrice – Laura me l’expliquerait plus tard –, mais pour quelqu’un dont les références étaient aussi entièrement urbaines que les miennes à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Il n’était pas nécessaire d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient ceux d’un homme de la montagne ; nul doute qu’il devait y avoir de nombreuses versions de lui, c’est évident, son immémorial besoin de vengeance avait poussé comme une hydre dévastatrice, Laura me l’expliquerait plus tard, mais pour quelqu’un aux références aussi entièrement urbaines que moi à cette époque, le petit homme de plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Tradabordo a dit…

Il n’était pas nécessaire [ou « Pas besoin » ?] d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient ceux d’un homme de [ou « propres aux gens de » ? JTLT] la montagne ; nul doute qu’il devait y [« en » à la place de « de lui » que tu mets après ?] avoir de nombreuses versions de lui, c’est évident [ou « tu parles » ?], son immémorial besoin de vengeance avait poussé [cherche mieux… d'autant que c'est légèrement ambigu] comme une hydre dévastatrice, [ou point-virgule ?] Laura me l’expliquerait plus tard, mais pour quelqu’un aux références [ou par « dont les » ?] aussi entièrement urbaines que moi à cette époque [cheville : « -là » ?], le petit homme de [« en »] plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Unknown a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne ; nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions, tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait grandi comme une hydre dévastatrice ; Laura me l’expliquerait plus tard, mais pour quelqu’un dont les références sont aussi entièrement urbaines que moi à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Tradabordo a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne ; [tu devrais mettre un point pour qu'on ne pense pas que ce sont plusieurs versions des habits mentionnés…] nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions, [point-virgule] tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait grandi [pas tout à fait le sens de « brotar »] comme une hydre dévastatrice ; [ou tiret ?] Laura me l’expliquerait plus tard, mais pour quelqu’un dont les références sont [temps ?] aussi entièrement urbaines que moi à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Unknown a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne. Nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions ; tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait surgi comme une hydre dévastatrice –Laura me l’expliquerait plus tard –, mais pour quelqu’un dont les références seraient aussi entièrement urbaines que les miennes à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Tradabordo a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne. Nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions ; tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait surgi comme une hydre dévastatrice – Laura me l’expliquerait plus tard –, mais pour quelqu’un dont les références seraient [ou « étaient » ?] aussi entièrement urbaines que les miennes à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Unknown a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne. Nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions ; tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait surgi comme une hydre dévastatrice – Laura me l’expliquerait plus tard –, mais pour quelqu’un dont les références étaient aussi entièrement urbaines que les miennes à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

Tradabordo a dit…

Pas besoin d’être un expert pour savoir que le poncho et le pantalon noir en flanelle étaient propres aux gens de la montagne. Nul doute qu’il devait y en avoir de nombreuses versions ; tu parles, son immémoriale soif de vengeance avait surgi comme une hydre dévastatrice – Laura me l’expliquerait plus tard –, mais pour quelqu’un dont les références étaient aussi entièrement urbaines que les miennes à cette époque-là, le petit homme en plâtre était simplement vêtu d’un costume typique de l’altiplano.

OK.