Acariciaron mis dedos el frío marfil. Se deslizaron por el refulgente ébano dando forma a mi canto de cisne. Y el padre Aurelio, como tantas otras veces, suspiró y murmuró conmovido “¡qué extraordinario!…, ¡qué belleza!”
Traduction temporaire :
Mes doigts caressèrent l'ivoire froid. Ils glissèrent sur l'ébène resplendissant, donnant forme à mon chant du cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura, ému : « Extraordinaire !… Quelle beauté ! »
Mes doigts caressèrent l'ivoire froid. Ils glissèrent sur l'ébène resplendissant, donnant forme à mon chant du cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura, ému : « Extraordinaire !… Quelle beauté ! »
4 commentaires:
Mes doigts caréssèrent l'ivoire froid. Ils glissèrent à travers l'ébène resplendissant donnant forme à mon chant de cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura ému : « Extraordinaire ! ... Quelle beauté ! »
Mes doigts caréssèrent [coquille] l'ivoire froid. Ils glissèrent à travers [« sur » ?] l'ébène resplendissant [ponctuation] donnant forme à mon chant de [« du » ? Ça dépend de l'idée] cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura [ponctuation] ému : « Extraordinaire !... Quelle beauté ! »
Mes doigts caressèrent l'ivoire froid. Ils glissèrent sur l'ébène resplendissant, donnant forme à mon chant du cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura, ému : « Extraordinaire !... Quelle beauté ! »
Mes doigts caressèrent l'ivoire froid. Ils glissèrent sur l'ébène resplendissant, donnant forme à mon chant du cygne. Et le père Aurelio, comme tant d'autres fois, soupira et murmura, ému : « Extraordinaire !... Quelle beauté ! »
OK.
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