Salió de su habitación cerró la puerta y por un instante pareció dudar pero fue solo eso una duda que pronto se disipo, ya seguro de sí mismo bajo las escaleras y se dirigió a la puerta, detrás de ella el extraño esperaba a saber con qué intenciones, sin pensarlo dos veces abrió y se abalanzo sobre el acuchillándolo sin piedad, el extraño cayó al suelo aun con vida y con las pocas fuerzas que le quedaban miro a Ángel y exclamo:”papa porque me has hecho esto” no pudo decir nada mas no le quedaron mas fuerzas.
Traduction temporaire :
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? » ; incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autre.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? » ; incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autre.
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l sortit de sa chambre, ferma la porte et sembla douter pendant un instant ; mais ce ne fut là qu'un doute qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, et qui sait avec quelles intentions. Sans y réfléchir à deux fois, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié ; l'étranger tomba [puis-je employer « s'écrouler » ou ce serait trop fort?] sur le sol, encore en vie, et, avec le peu de forces qu'il lui restait, regarda Ángel et s'exclama : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il ne put rien dire de plus, il n'en avait plus la force.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et sembla douter pendant un instant [ou : « et, l'espace d'un instant, sembla hésiter » ?] ; mais ce ne fut là qu'un doute [« une simple hésitation » ?] qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, et [on peut supprimer le « et » ?] qui sait avec quelles intentions. Sans y réfléchir à deux fois, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié ; [point ?] l'étranger tomba [puis-je employer « s'écrouler » ou ce serait trop fort? / Oui pour « s'écrouler »] sur le sol, encore en vie, [point ?] et, avec le peu de forces qu'il lui restait, [« il »] regarda Ángel et s'exclama : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il ne put rien dire de plus [à rendre plus naturel], il n'en avait plus la force [il faudrait supprimer la répétition de « force »].
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans y réfléchir à deux fois, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula sur le sol, encore en vie. Et, avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'exclama : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il ne put rien ajouter, il n'en était plus en mesure.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation [virgule] qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans y réfléchir à deux fois [on peut supprimer le « à deux fois », un peu lourd ?], il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula sur le sol [supprime], encore en vie. Et, [On peut supprimer ?] avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'exclama [« ou s'écria », vu qu'après, c'est une question] : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il ne put rien ajouter, il n'en était plus en mesure [simplifie encore en ramassant].
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans plus [j'essaie avec "plus" à la place de "y", qu'en pensez-vous ?] réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il n'était plus en mesure d'ajouter quoi que ce soit.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans plus [j'essaie avec "plus" à la place de "y", qu'en pensez-vous ? À mon avis, tu te compliques les choses… alors que ce serait si simple avec juste « sans »] réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il n'était plus en mesure [ou « Incapable »] d'ajouter quoi que ce soit [« d'autre » ?].
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il était incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autres.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? ». Il était [pas besoin ; relie les deux phrases avec une simple virgule] incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autres.
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? » ; incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autres.
Très formateur, ce passage...
Il sortit de sa chambre, ferma la porte et, l'espace d'un instant, sembla hésiter ; mais ce ne fut là qu'une simple hésitation, qui se dissipa rapidement. Désormais sûr de lui, il descendit les escaliers et se dirigea vers la porte. Derrière, l'étranger attendait, qui sait avec quelles intentions. Sans réfléchir, il ouvrit et se rua sur lui, le poignardant sans pitié. L'étranger s'écroula, encore en vie. Avec le peu de forces qu'il lui restait, il regarda Ángel et s'écria : « Papa, pourquoi tu m'as fait ça ? » ; incapable d'ajouter quoi que ce soit d'autre.
J'ai corrigé la faute de grammaire de la fin et…
OK.
oups oui.
Je vais attendre un peu avant de commencer la nouvelle que j'ai choisie :-)
T'inquiète : dans la mesure de ma concentration du moment, j'essaie d'être attentive à ces détails.
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