Walter sentía flojas las rodillas, primero porque se le escapaba una oportunidad y sería difícil que surgiera otra en mucho tiempo, y segundo porque estaba débil.
Traduction temporaire :
Walter avait l'impression que ses genoux fléchissaient, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre avant longtemps, ensuite parce qu'il se sentait faible.
Walter avait l'impression que ses genoux fléchissaient, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre avant longtemps, ensuite parce qu'il se sentait faible.
12 commentaires:
Walter sentait ses genoux fléchir, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il serait difficile d'en avoir une autre dans longtemps, et ensuite parce qu'il était faible.
Walter sentait ses genoux fléchir [« mollir » ?], d'abord parce qu'il perdait [avec « passer à côté »] une opportunité et qu'il [manque quelque chose ici] serait difficile d'en avoir une autre [manque de naturel] dans longtemps [incorrect], et [pas besoin] ensuite parce qu'il était faible [dans quel sens ?].
Walter sentait ses genoux mollir, d'abord parce qu'il passait à côté d'une opportunité et qu'il lui serait difficile de décrocher une autre bientôt, ensuite parce qu'il était languissant.
Walter sentait ses genoux mollir, d'abord parce qu'il passait à côté d'une opportunité et qu'il lui serait difficile de [l'éternel problème de « en »] décrocher [avec « avoir » ça suffira] une autre bientôt, ensuite parce qu'il était languissant [en fait, là, il faudrait se sentir… mais on l'a au début…].
Walter sentait ses genoux mollir, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre bientôt, ensuite parce qu'il était languissant.
Non, laisse « faible » – c'est « sentir » qu'il faut travailler.
Walter sentait ses genoux mollir, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre bientôt, ensuite parce qu'il était affaibli.
Et avec "affaibli" ?
« avoir l'impression » et après « se sentir faible ».
Walter avait l'impression que ses genoux mollissaient, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre bientôt, ensuite parce qu'il se sentait faible.
Walter avait l'impression que ses genoux mollissaient [du coup, avec « avoir l'impression », « fléchir » sera bien], d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre bientôt [« avant longtemps »], ensuite parce qu'il se sentait faible.
Walter avait l'impression que ses genoux fléchissaient, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre avant longtemps, ensuite parce qu'il se sentait faible.
Walter avait l'impression que ses genoux fléchissaient, d'abord parce qu'il perdait une opportunité et qu'il lui serait difficile d'en avoir une autre avant longtemps, ensuite parce qu'il se sentait faible.
OK.
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