Que cuántas piezas tenía en total el castillo, preguntan, y yo les contesto como si no supiera hacia dónde apuntan y ellas me dicen qué puede hacernos una pieza cerrada ante tantas y tantas abiertas y llenas de tesoros y yo las dejo no más hablar porque sé que la respuesta se las darán ellas misma antes de concluir el seminario.
Traduction temporaire :
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces comptait le château. Alors elles reviennent à la charge : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces comptait le château. Alors elles reviennent à la charge : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
12 commentaires:
Et combien de pièces il y avait dans le château au total, demandent-elles, moi, je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir, et qu’est-ce ça peut faire, une pièce fermée, à côté de tellement de pièces ouvertes et débordantes de trésors… Là, je ne les laisse plus parler, parce que je sais que la réponse, elles la trouveront toutes seules avant la fin du séminaire.
Et combien de pièces il y avait dans le château au total [mal dit + mal placé dans la phrase], demandent-elles, [ponctuation] moi, je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir, [ponctuation + tu as oublié un petit bout; du coup, c'est difficile à comprendre] et qu’est-ce ça peut faire, une pièce fermée, à côté de tellement de pièces ouvertes et débordantes de trésors… [manque de fluidité ; reprends] Là, je ne les laisse plus parler [CS], parce que je sais que la réponse, elles la trouveront toutes seules avant la fin du séminaire.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et qu’est-ce ça peut faire, une pauvre pièce fermée, face à tellement d’autres ouvertes et débordantes de trésors… Là, je les laisse juste parler, parce que je sais que la réponse, elles la trouveront toutes seules avant la fin du séminaire.
J'ai mis "débordantes" parce que j'ai déjà "remplie" et "pleine" avec la pièce pleine de femmes mortes, et le changement passe beaucoup mieux avec les "trésors" qu'avec "femmes mortes".
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et qu’est-ce ça peut faire [pas quelque chose qui claque un peu plus ? Je n'ai pas d'idée précise en tête, mais je me dis que tu dois pouvoir faire mieux], une pauvre pièce fermée, face [ou « comparée à » ?] à tellement d’autres ouvertes et débordantes [« bourrées » ?] de trésors… Là, je les laisse juste [on supprimer] parler, parce que je sais que la réponse, elles la trouveront toutes seules avant la fin du séminaire [j'hésite, pour la syntaxe de la fin ; teste d'autres solutions].
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et franchement, qu’est-ce qu'on a à faire, d'une pauvre pièce fermée, comparée à tellement d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je suis pas trop inspirée pour le "qu'est-ce qu'on en a à faire", je vais voir si quelque chose d'autre me vient !
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et franchement, qu’est-ce qu'on a à faire [ou avec « quel poids » ? Essaie et dis-moi si ça fonctionne], d'une pauvre pièce fermée, comparée à tellement [« des quantités » ?] d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles [« me » ou pas ?] demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée [manque un mot ; relis bien avant d'enregistrer] des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces le château comptait. Alors elles continuent : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces le château comptait [ou « comptait le château » ?]. Alors elles continuent [ou « reviennent à la charge » ?] : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces comptait le château. Alors elles reviennent à la charge : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
Je leur réponds comme si j’ignorais où elles voulaient en venir lorsqu’elles me demandent combien de pièces comptait le château. Alors elles reviennent à la charge : et franchement, quel poids peut avoir une pauvre pièce fermée, comparée à des quantités d’autres ouvertes et bourrées de trésors… Là, je les laisse parler, parce que je sais qu'avant la fin du séminaire, elles la trouveront toutes seules, la réponse.
OK.
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