Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
mercredi 17 avril 2013
Projet Kévin – phrase 41
En una esquina la vio pasar un conejo y, admirado por la extraña conducta de su compañera, le preguntó: ¿qué te pasa?, pero la libre, sin detenerse, le gritó: ¡huye, huye, huye!
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" mais le lièvre, sans s'arrêter, lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" [ou, plus neutre, « que t'arrive-t-il » ?] [ponctuation à ajouter] mais le lièvre, sans s'arrêter, lui cria [syntaxe à travailler] : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Mais, sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi [est-ce qu' « étonné » ne suffit pas ?] par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Mais, [nécessaire ?] sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, étonné par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, étonné par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
6 commentaires:
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" mais le lièvre, sans s'arrêter, lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" [ou, plus neutre, « que t'arrive-t-il » ?] [ponctuation à ajouter] mais le lièvre, sans s'arrêter, lui cria [syntaxe à travailler] : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Mais, sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, abasourdi [est-ce qu' « étonné » ne suffit pas ?] par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Mais, [nécessaire ?] sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, étonné par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
Au coin d'une rue, un lapin le vit passer et, étonné par l'étrange conduite de son compagnon, lui demanda : "Qu'est-ce qui te prend ?" Sans s'arrêter, le lièvre lui cria : "Fuis, fuis, fuis !"
OK.
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