vendredi 5 avril 2013

Projet Pascaline – phrases 24-28


Miro mis manos y veo las uñas pintadas de rojo fuerte. Algo —¿un pañuelo?— envuelve mi cabeza. Abro grande la boca y emito un grito gutural de dolor y de angustia. Siento en mis tripas que no me queda mucho tiempo más allí. En la mesa redonda y de color oscuro veo una hoja de papel y un lápiz; los uso para hacer un dibujo frenético usando trazos gruesos y espasmódicos.

Traduction temporaire :
Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose – un foulard ? – enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un cri guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands traits spasmodiques.

11 commentaires:

calou a dit…

Je regarde mes mains et je vois que mes ongles sont rouge vif. Quelque chose – un mouchoir ? – enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes trippes. Sur la table ronde et de couleur sombre, j’aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique en faisant de gros traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois que mes ongles sont rouge vif [là, je crois que c'est ambigu ; on a l'impression que ses ongles sont soudain devenus rouge vif / + « pintadas » ; essaie de revenir à la V.O.]. Quelque chose – un mouchoir ? [ou « foulard » ? À toi de voir en fonction du contexte] – enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes trippes [orthographe]. Sur la table ronde et de couleur sombre [« foncée » ?], j’aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique en faisant [deux fois le verbe « faire » ; trouve une solution] de gros traits spasmodiques.

calou a dit…

Je regarde mes mains et je vois mes ongles peints d'un rouge vif. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique en traçant de gros traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois mes ongles peints d'un rouge vif [est-ce que ce ne serait pas bien de caser « vernis » ? Essaie de voir si c'est possible]. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps [faut-il ajouter la cheville « à passer » ou est-ce inutile ?] ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique en traçant de gros [« à grands coups de »] traits spasmodiques.

calou a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif aux ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands coups de traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif aux [ou « sur les » ?] ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands coups de [supprime] traits spasmodiques.

calou a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands coups de [supprime : que dois-je supprimer ?] traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands coups de [supprime : que dois-je supprimer ? « coups de »] traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands coups de [supprime : que dois-je supprimer ? « coups de »] traits spasmodiques.

calou a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un crie guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands traits spasmodiques.

Tradabordo a dit…

Je regarde mes mains et je vois que j'ai du vernis rouge vif sur les ongles. Quelque chose - un foulard ? - enveloppe ma tête. J’ouvre grand la bouche et émets un cri guttural de douleur et d’angoisse. Il ne me reste plus beaucoup de temps ici, je le sens dans mes tripes. Sur la table ronde et foncée, j'aperçois une feuille de papier et un crayon ; je les prends pour faire un dessin frénétique à grands traits spasmodiques.

OK.