Una empleadilla, sí, pero con un sueldo seguro por mes y las cuentas pagas. Y de pronto me di cuenta de que yo no tenía nada, no me podían quitar mucho. Y mi tía me pide que deje su departamento.
Traduction temporaire :
Une petite employée, certes, avec néanmoins un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Sans compter ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, avec néanmoins un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Sans compter ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
15 commentaires:
Une bonne petite employée, certes, mais avec un salaire fixe tous les mois et tes factures, tu les payes. Et soudain, je me suis rendu compte que moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand chose. Et ma tante qui me demande que je quitte son appartement.
Une bonne [tu crois qu'il y a cette nuance ?] petite employée, certes, mais avec un salaire fixe tous les mois et tes factures, tu les payes [sûre ? Tu crois pas qu'il y a une coquille ?]. Et soudain, je me suis rendu compte que moi, je n’avais rien, [cheville : « et que donc » ?] on ne pouvait pas me prendre grand chose [tiret ?]. Et [mieux relier les deux phrases] ma tante qui me demande que je quitte [?????????] son appartement.
Une petite employée, certes, mais avec un salaire fixe tous les mois et les factures payées (c'était mon premier avis, que le "d" de "pagadas" avait été oublié, mais en relisant, j'ai essayé du coller au texte, or je pense que tu as raison, c'est certainement une coquille.) Mais soudain, je me suis rendu compte que comme je n’avais rien, et que donc (je trouve ça un peu lourd le "et que donc", je ne mettrais rien) on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Et voilà cette bonne femme qui me demande que je laisse le service tranquille (:o/ j'ai honte, ce vieux contre-sens... je te promets le congé maternité, tu deviens débile à plus faire marcher tes neurones!!! D'ailleurs je suis toujours pas certaine d'avoir compris... )
Une petite employée, certes, mais avec un salaire fixe [en fait, ça ne porte pas tant sur la somme que sur le fait d'être certain que ça tombe] tous les mois et les factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Et voilà cette bonne femme [FS] qui me demande que je laisse le service tranquille.
La fin est un CS. Avant : pb de formulation.
Une pette employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Et ma tante qui me demande de quitter son appartement.
Relis-toi pour supprimer la / les coquilles.
Une pette employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et les factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Puis voilà ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Relis-toi encore : 2e mot.
Merci, je ne voyais pas…
Une petite employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et les factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Puis voilà ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et les factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme [« yo » / il faut le traduire ici] je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Puis voilà [?????] ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Et maintenant, ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, mais avec un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais [aïe ; déjà « mais » dans la phrase d'avant…] soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Et maintenant [« Sans compter »], ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, avec néanmoins un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Sans compter ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
Une petite employée, certes, avec néanmoins un salaire qui tombe tous les mois et ses factures payées. Mais soudain, je me suis rendu compte que comme moi, je n’avais rien, on ne pouvait pas me prendre grand-chose. Sans compter ma tante, qui me demande de quitter son appartement.
OK.
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