dimanche 5 mai 2013

Projet Céline 4 – phrase 69

Cerré los ojos sin pronunciar palabra, abandonado por completo al delicado malestar que todavía persistía como un lento vaivén y me quedé escorado en esa niebla que era la voz de Laura muy a lo lejos, sus pasos por el departamento vacío, el silencio desnudo de la habitación.

Traduction temporaire :
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et je suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

6 commentaires:

Unknown a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au doux malaise qui persistait tel un lent va-et-vient, et suis resté couché dans ce brouillard qu’était la voix de Laura au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

Tradabordo a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au doux [elle n'a pas parlé « doucement » ou « avec douceur » dans la phrase précédente ?] malaise qui persistait [virgule] tel un lent va-et-vient, et suis resté couché [sûre ?] dans ce brouillard qu’était la voix de Laura [virgule ?] au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

Unknown a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté arrimé dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

Tradabordo a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté arrimé [ou « à tanguer » ? Je ne sais pas…] dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

Unknown a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

Tradabordo a dit…

J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et je suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.

OK.