Cerré los ojos sin pronunciar palabra, abandonado por completo al delicado malestar que todavía persistía como un lento vaivén y me quedé escorado en esa niebla que era la voz de Laura muy a lo lejos, sus pasos por el departamento vacío, el silencio desnudo de la habitación.
Traduction temporaire :
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et je suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et je suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
6 commentaires:
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au doux malaise qui persistait tel un lent va-et-vient, et suis resté couché dans ce brouillard qu’était la voix de Laura au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au doux [elle n'a pas parlé « doucement » ou « avec douceur » dans la phrase précédente ?] malaise qui persistait [virgule] tel un lent va-et-vient, et suis resté couché [sûre ?] dans ce brouillard qu’était la voix de Laura [virgule ?] au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté arrimé dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté arrimé [ou « à tanguer » ? Je ne sais pas…] dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
J’ai fermé les yeux sans un mot, m’abandonnant complètement au léger malaise qui persistait, tel un lent va-et-vient, et je suis resté à tanguer dans ce brouillard qu’était la voix de Laura, au loin, ses pas dans l’appartement vide, le silence nu de la pièce.
OK.
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