A veces la va a ver, no la conoció pero le gusta el perfume de las plantas que dividen los caminos hasta llegar a su abuela. El cuidador del cementerio es un hombre grueso que tiene la barba apenas coloreada, cada vez más blanca.
Traduction temporaire :
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui perd de plus en plus sa couleur, un peu plus blanche chaque jour.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui perd de plus en plus sa couleur, un peu plus blanche chaque jour.
10 commentaires:
Parfois, il va lui rendre visite, il ne l'a pas connu, mais il aime le parfum des plantes qui divisent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le surveillant du cimetière est un homme gros avec une barbe à peine colorée, chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite, [point ?] il ne l'a pas connu [grammaire], mais il aime le parfum des plantes qui divisent [?] les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le surveillant [on ne dit pas comme ça] du cimetière est un homme gros avec une barbe à peine colorée [bizarre], chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui séparent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe poivrée, chaque jour un peu plus blanche.
Pour la barbe, je ne sais pas trop, en espagnol non plus, ça ne se dit pas comme ça...
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui séparent [ou alors avec « tracent » ?] les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe poivrée [ou un truc du genre : « avec de moins en moins de couleur » ?], chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui a de moins en moins de couleur [décolorée ?], chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui a de moins en moins de couleur [décolorée ? OK], chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe décolorée, chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe décolorée [en fait, est-ce que ça ne serait pas mieux avec « qui perd de plus en plus sa couleur » ?], chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui perd de plus en plus sa couleur, chaque jour un peu plus blanche.
Parfois, il va lui rendre visite. Il ne l'a pas connue, mais il aime le parfum des plantes qui délimitent les chemins jusqu'à sa grand-mère. Le gardien du cimetière est un homme gros avec une barbe qui perd de plus en plus sa couleur, un peu plus blanche chaque jour.
J'ai un peu changé la syntaxe de la fin… OK.
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