El caso es que, particularmente, había estado, desde hacía tiempo, obsesionado por probar la carne humana. Para ser exacto, a Josefina, le regalé El Arte de la antropofagia que, sin duda recomiendo y, para mi fortuna, le fascinó tanto como a mí.
Traduction temporaire :
Le fait est que j'étais depuis longtemps particulièrement obsédé par l'idée de goûter à la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina L'art de l'anthropophagie, que je recommande sans hésiter et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
Le fait est que j'étais depuis longtemps particulièrement obsédé par l'idée de goûter à la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina L'art de l'anthropophagie, que je recommande sans hésiter et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
5 commentaires:
Le fait est que, depuis longtemps, j'étais particulièrement obsédé par l'idée de goûter la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina "L'art de l'anthropophagie" que je recommande sans nul doute et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
On est obligé d'enlever le plus-que-parfait "había estado", non ?
Le fait est que, depuis longtemps, j'étais particulièrement obsédé [change la syntaxe…] par l'idée de goûter [« à » ? J'hésite…] la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina "L'art de l'anthropophagie" [virgule] que je recommande sans nul doute [bizarre, non ?] et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
Le fait est que j'étais, depuis longtemps, particulièrement obsédé par l'idée de goûter à [« à » ? J'hésite…/"goûter à" : "manger ou boire pour la première fois" donc c'est ça je pense, Manon ?] la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina "L'art de l'anthropophagie", que je recommande sans hésiter et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
Pour info, d'après le Robert, la différence entre "goûter à" et "goûter", c'est qu'avec "goûter à", il s'agit de quelque chose qu'on n'a jamais mangé (ou bu) :
Le fait est que j'étais depuis longtemps particulièrement obsédé par l'idée de goûter à la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina "L'art de l'anthropophagie", que je recommande sans hésiter et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
OK pour la version de Manon.
Le fait est que j'étais depuis longtemps particulièrement obsédé par l'idée de goûter à la chair humaine. Pour être exact, j'avais offert à Josefina "L'art de l'anthropophagie", que je recommande sans hésiter et qui, par chance, l'avait autant fascinée que moi.
Nancy ?
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