vendredi 10 mai 2013

Projet Nadia / Élise – phrases 51-52

Si algún crédito merece mi primo Mario, la patraña fue inventada por las mellizas Arteaga. Ellas,  como casi todas las chicas de La Punta, incluidas las esbeltas y bien torneadas hermanitas González Vigil,  palidecían ante los encantos de la Zurda.

Traduction temporaire :
Si l'on en croit mon cousin Mario, ce ragot fut lancé par les jumelles Arteaga. Elles, comme presque toutes les filles de La Punta, y compris les sœurs González Vigil,  sveltes et bien foutues, palissaient devant les charmes de la Gauchère.

5 commentaires:

Unknown a dit…

Si on accorde du crédit à mon cousin Mario, la rumeur fut inventée par les jumelles Arteaga. Elles, comme presque toutes les filles de La Punta, y compris les sœurs González Vigil – sveltes et bien foutues – palissaient devant les charmes de la Gauchère.

Tradabordo a dit…

Si on accorde du crédit à [« Si l'on en croit »] mon cousin Mario, la rumeur [est-ce véritablement le registre ?] fut inventée [ou « lancée » ? Ça dépendra du substantif finalement retenu…] par les jumelles Arteaga. Elles, comme presque toutes les filles de La Punta, y compris les sœurs González Vigil – sveltes et bien foutues [pas besoin de le mettre entre tirets ; réintègre-le à la phrase] – palissaient devant les charmes de la Gauchère.

Unknown a dit…

Si l'on en croit mon cousin Mario, ce ragot fut lancé par les jumelles Arteaga. Elles, comme presque toutes les filles de La Punta, y compris les sœurs González Vigil, sveltes et bien foutues, palissaient devant les charmes de la Gauchère.

Unknown a dit…

OK pour moi !

Tradabordo a dit…

Si l'on en croit mon cousin Mario, ce ragot fut lancé par les jumelles Arteaga. Elles, comme presque toutes les filles de La Punta, y compris les sœurs González Vigil, sveltes et bien foutues, palissaient devant les charmes de la Gauchère.

OK.