dimanche 5 mai 2013

Projet Nancy 2 – titre + phrases 1-4

Pour « Lectures d'ailleurs », Nancy Benazeth commence la nouvelle « La cocina de mi vida », de l'Espagnole Lidia Romero Sánchez.

Lidia Romero Sánchez
(Espagne)

LA COCINA DE MI VIDA

Sonó el despertador de las 7’30. Se levantó con el ritmo de la locura diaria en la sangre. Preparó la ducha y desayunó. Había despabilado a los niños,  los vistió  y había recomendado  por su bien, a Juan - el mayor-, que  cuidara de sus hermanos.

Traduction temporaire :


Lidia Romero Sánchez
(Espagne)

LA CUISINE DE MA VIE


Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara les affaires pour sa douche et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et,  dans leur intérêt,  recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères.

8 commentaires:

Nancy a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec le rythme de la folie quotidienne dans le sang. Elle prépara la douche et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, elle les habilla et pour leur bien, recommanda à Juan, – l’aîné –, de veiller sur ses frères.

Tradabordo a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec le rythme de la folie quotidienne dans le sang [ou « dans le sang » après « avec » ? J'hésite ; regarde et dis-moi]. Elle prépara [?] la douche et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, elle [nécessaire ?] les habilla et pour leur bien [bof], recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères [que des garçons ? La suite confirme ?].

Nancy a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec, dans le sang, le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara ses affaires pour se doucher et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères et sœurs [que des garçons ? La suite confirme ? On ne sait pas, on a que "niños"].

Tradabordo a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara ses affaires pour se doucher et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères et sœurs [que des garçons ? La suite confirme ? On ne sait pas, on a que "niños" / Qu'est-ce qu'on fait, alors ? Garçons ?].

Nancy a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara ses affaires pour se doucher et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères [oui, ce ne sont que des garçons, j'ai demandé à l'auteure].

Tradabordo a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara ses affaires pour se doucher [ou « pour sa douche » ?] et prit son petit déjeuner [ou « petit-déjeuna » ?]. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et [virgule] dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères.

Nancy a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara les affaires pour sa douche et prit son petit déjeuner [ou « petit-déjeuna » ? Je préfère avec prendre, non ?]. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et, dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères.

Tradabordo a dit…

LA CUISINE DE MA VIE

Le réveil sonna à 7 h 30. Elle se leva avec dans le sang le rythme de la folie quotidienne. Elle prépara les affaires pour sa douche et prit son petit déjeuner. Elle avait réveillé les enfants, les habilla et, dans leur intérêt, recommanda à Juan – l’aîné – de veiller sur ses frères.

OK.