Pienso una vez más que tengo que llamarla, que no importa que probablemente sean las tres o las cuatro de la mañana, tengo que llamarla porque ya no está en la cama, aquí, conmigo. Y porque su ausencia es lo único que ha cambiado. Porque todo lo demás, todo lo que en realidad debió haber cambiado, seguía siendo igual.
Traduction temporaire :
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité aurait dû changer, demeurait semblable.
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité aurait dû changer, demeurait semblable.
7 commentaires:
Annelise L
Je pense une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité avait dû changer, demeurait semblable.
Je pense [pas naturel ici ; il y a un verbe tout simple qui irait bien… N'oubliez jamais de vous demander : « Moi, dans le mêle contexte, comment le dirais-je ? »] une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, [« que » ?] je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité avait [temps] dû changer, demeurait semblable.
Annelise L
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité devait avoir changé, demeurait semblable.
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler [« le faire » ? Comme vous voulez] parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité devait [temps] avoir changé, demeurait semblable.
Annelise L
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité a dû changer, demeurait semblable.
Annelise L (rectification: ignorez le post précédent)
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité aurait dû changer, demeurait semblable.
Je me dis une fois de plus que je dois l'appeler, que ça n'a pas d'importance qu'il soit probablement trois ou quatre heures du matin, que je dois l'appeler parce qu'elle n'est plus dans le lit, ici, avec moi. Et parce que son absence est l'unique chose qui ait changé. Parce que tout le reste, tout ce qui en réalité aurait dû changer, demeurait semblable.
OK.
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