jeudi 15 janvier 2015

Projet Justine / Joana – phrases 429-433


Se abalanzó contra mí, me quitó el cuaderno y se sentó sobre la silla coja, media hora por lo menos, a seguir leyendo. Lloraba. Al terminar fue al baño y vomitó. Sentí pena de ella al notar una obsesión con sus personajes. Era cierto, yo se los había quitado y era obvio para los dos que ella no hubiera podido escribirlos mejor que yo. Por eso lloraba. Pensé que debía darle a «Darío del Ollo». Era un trato justo.

Traduction temporaire :

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer sa lecture. Elle pleurait. À la fin, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai perçu sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais volés, et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis alors dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

6 commentaires:

Justine a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer de lire. Elle pleurait. Sa lecture achevée, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai ressenti sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais enlevé, et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

Tradabordo a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer de lire [« sa lecture » ?]. Elle pleurait. Sa lecture achevée [change ici // il vaut mieux se le garder pour la phrase d'avant], elle est allée vomir aux toilettes. J'ai ressenti sa peine [pas ce qu'il dit] en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais enlevé [bof], et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis [« alors » ?] dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

Justine a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer sa lecture. Elle pleurait. À la fin, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai perçu sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais volé, et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis alors dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

Tradabordo a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer sa lecture. Elle pleurait. À la fin, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai perçu sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais volé [grammaire], et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis alors dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

Justine a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer sa lecture. Elle pleurait. À la fin, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai perçu sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais volés, et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis alors dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

Tradabordo a dit…

Elle s'est jetée sur moi, m'a arraché le cahier des mains et s'est assise sur la chaise branlante pendant au moins une demi-heure pour continuer sa lecture. Elle pleurait. À la fin, elle est allée vomir aux toilettes. J'ai perçu sa peine en remarquant qu'elle était obsédée par ses personnages. Effectivement, je les lui avais volés, et il était évident pour nous deux qu'elle n'aurait pas écrit ses textes mieux que moi. Voilà pourquoi elle pleurait. Je me suis alors dit que je devais lui donner « Darío du Cul ». C'était un marché équitable.

OK.