Tampoco entendía de despedidas, pues era asunto normal en la familia que el abuelo y mi padre viajaran hacia los sitios de encierro del ganado, ausentándose por semanas y hasta por meses, y nadie lloraba a la ida ni en el regreso. Casi a un mes de la partida de mi padre, escuché de labios de la abuela lo que desde su punto de vista significaba la viudez para una mujer en el esplendor de la vida. Mi madre era bella.
Traduction temporaire :
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père partent dans les endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père partent dans les endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
9 commentaires:
Je ne m'y connaissais pas non plus en au revoir car dans la famille, il était normal que mon grand-père et mon père voyagent aux endroits où l'on parque le bétail, s'absentant alors durant des semaines, voire même des mois ; et personne ne pleurait ni à l'aller, ni au retour. À presque un mois du départ de mon père, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je ne m'y connaissais pas non plus [avec : « être un expert » ?] en au revoir [virgule] car dans la famille, il était normal [je pense que tu ne rends pas complètement le sens…] que mon grand-père et mon père voyagent aux endroits où l'on parque le bétail, s'absentant [« restant alors absents » ?] alors durant des semaines, voire même [redondant] des mois ; et personne ne pleurait ni à l'aller [possessif ? + pas très naturel ; je sais que c'est pour éviter la répétition de « départ », mais ça reste un peu artificiel], ni au [possessif ?] retour. À presque un mois du départ de mon père, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, il était de coutume que mon grand-père et mon père voyagent aux endroits où l'on parque le bétail, restant alors absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir [au pluriel ?], car dans la famille, il était de coutume [très mal dit :-)] que mon grand-père et mon père voyagent aux endroits où l'on parque le bétail, restant alors [nécessaire] absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père voyagent aux endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père voyagent [« partent » / « s'en aillent »] aux endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père partent dans les endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
Je n'étais pas non plus expert en au revoir, car dans la famille, nous étions habitués à ce que mon grand-père et mon père partent dans les endroits où l'on parque le bétail, restant absents durant des semaines, voire des mois ; et personne ne pleurait ni à leur départ, ni à leur retour. À presque un mois du jour où mon père devait nous quitter, j'entendais ma grand-mère expliquer ce qui, selon elle, était synonyme de vieillesse pour une femme à l'apogée de sa vie. Ma mère était belle.
OK.
On fait la phrase suivante ? :-)
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