La señora suspira de vergüenza y satisfacción. Finalmente, se da cuenta de que en el paquete queda sólo la última galletica.
Con calma, alarga la mano, toma la última galletica y, con mucha suavidad, la corta exactamente por la mitad y con una sonrisa amorosa me la ofrece.
— ¡Gracias! , le respondo observándola.
— De nada — contesta sonriendo mientras come su mitad.
El tren llega. La señora se levanta con sus cosas y sube. Al arrancar, desde el vagón me mira
Arranca el tren bruscamente, y veo como se quita los tirantes del vestido, y me enseña sonriente las tetas desde la ventanilla abierta.
¡Coño…., protesto anonadado. ¡Se ven ricas! ¡Con los pezones redondos y rozados.
El tren va saliendo, más rápido de la estación. Decepcionado sigo sin perder de vista los pechos salientes de la señora, hasta que ya solo se aprecia un punto lejano. Lentamente me dispongo a marcharme, pero en el asiento., me tropiezo con la revista y un papel arrugado. Me detengo leyendo el contenido. Calle Esmeralda entre Golfito y Bello Monte. Residencia Costa azul. Te espero.
Traduction temporaire :
La femme soupire de honte et de satisfaction. Finalement, elle se rend compte qu’il ne reste plus qu'un dernier biscuit dans le paquet. Avec calme, elle tend la main, le prend et, avec beaucoup de douceur, le coupe exactement à la moitié et me le tend avec un sourire amoureux.
— Merci ! lui ai-je répondu en l’observant.
— De rien, répond-elle, sans cesser de sourire et en mangeant sa moitié.
Le train arrive. La femme se lève, ramasse ses affaires et monte dedans. Au démarrage, depuis le wagon, elle me regarde.
Le train se met brusquement en branle. Je la vois ôter les bretelles de sa robe et, souriante, me montrer ses seins à travers la vitre ouverte.
Putain, protesté-je, abasourdi. Ils sont superbes ! En plus, ses mamelons sont ronds et roses !
Le train s'éloigne, de plus en plus vite. Déçu, je ne quitte pas des yeux ses seins s’en allant, jusqu’à ce que l’on ne voie plus qu’un point lointain. Lentement, je m’apprête à partir, mais sur le siège, je découvre sa revue et un papier chiffonné.
Je m’arrête pour en savoir la nature. Calle esmeralda, entre Golfito et Bello Monte. Résidence Costa azul. Je t’attends.
8 commentaires:
La femme pousse un soupir de honte et de satisfaction à la fois. Finalement, elle se rend compte que, dans le paquet, il ne reste plus que le dernier biscuit.
C’est avec calme qu’elle tend la main, prend le dernier biscuit et, avec beaucoup de douceur, le coupe exactement à la moitié et, d’un sourire amoureux, me l’offre.
— Merci ! Lui ai-je répondu, l’observant.
— De rien, répond t-elle en souriant, tout en mangeant sa moitié.
Le train arrive. La femme se lève en prenant ses affaires et monte. Au départ, depuis le wagon, elle me regarde.
Le train démarre brusquement, et je la vois ôter les bretelles de sa robe et me montre, souriante, ses seins à travers la vitre ouverte.
Putain, protesté-je abasourdi. Ils sont gros ! En plus, ses mamelons sont ronds et rosés !
Le train part, de plus en plus vite de la gare. Déçu, je ne quitte pas des yeux ses seins s’en allant, jusqu’à ce que l’on ne voie plus qu’un point lointain. Lentement, je m’apprête à partir, mais sur le siège, je tombe sur sa revue et un papier chiffonné.
Je m’arrête pour lire le contenu. Rue esmeralda, entre Golfito et Bello Monte. Residence Costa azul. Je t’attends.
La femme pousse un soupir [ou juste avec le verbe, comme en V.O. ?] de honte et de satisfaction à la fois [ajout nécessaire ?]. Finalement, elle se rend compte que, dans le paquet [placé après… Ça évitera l'entre-virgules], il ne reste plus que le dernier biscuit. C’est [nécessaire ?] avec calme qu’elle tend la main, prend le dernier biscuit et, avec beaucoup de douceur, le coupe exactement à la moitié et, d’[« avec »]un sourire amoureux, me l’offre [place-le avant… Ce sera également plus fluide].
— Merci ! L[pas de majuscule]ui ai-je répondu, [« en » sans la virgule ?] l’observant.
— De rien, répond t[?]-elle en souriant [comme elle était supposée être déjà en train de sourire, on peut dire « sans cesser de », non ?], tout [« et »] en mangeant sa moitié.
Le train arrive. La femme se lève en prenant [tu en as déjà un plus] ses affaires et monte. Au départ [texte ?], depuis le wagon, elle me regarde.
Le train démarre brusquement, et je la vois ôter les bretelles de sa robe et [« elle »] me montre, souriante [mal placé], ses seins à travers la vitre ouverte.
Putain, protesté-je [virgule] abasourdi. Ils sont gros [j'hésite] ! En plus, ses mamelons sont ronds et rosés [« rose » ?] !
Le train part [« s'éloigne »], de plus en plus vite de la gare [nécessaire ?]. Déçu, je ne quitte pas des yeux ses seins s’en allant, jusqu’à ce que l’on ne voie plus qu’un point lointain. Lentement, je m’apprête à partir, mais sur le siège, je tombe sur sa revue et un papier chiffonné.
Je m’arrête pour lire le contenu [nature ?]. Rue [« Calle »] esmeralda, entre Golfito et Bello Monte. Residence [accent] Costa azul. Je t’attends.
La femme soupire de honte et de satisfaction. Finalement, elle se rend compte qu’il ne reste plus que le dernier biscuit dans le paquet. Avec calme, elle tend la main, prend le dernier biscuit et, avec beaucoup de douceur, le coupe exactement à la moitié et me l’offre avec un sourire amoureux.
— Merci ! lui ai-je répondu en l’observant.
— De rien, répond-elle, sans cesser de sourire, en mangeant sa moitié.
Le train arrive. La femme se lève, ramasse ses affaires et monte. Au démarrage, depuis le wagon, elle me regarde.
Le train démarre brusquement, et je la vois ôter les bretelles de sa robe et souriante, elle me montre ses seins à travers la vitre ouverte.
Putain, protesté-je, abasourdi. Ils sont superbes ! En plus, ses mamelons sont ronds et roses !
Le train s'éloigne, de plus en plus vite. Déçu, je ne quitte pas des yeux ses seins s’en allant, jusqu’à ce que l’on ne voie plus qu’un point lointain. Lentement, je m’apprête à partir, mais sur le siège, je tombe sur sa revue et un papier chiffonné.
Je m’arrête pour en savoir la nature. Calle esmeralda, entre Golfito et Bello Monte. Résidence Costa azul. Je t’attends.
La femme soupire de honte et de satisfaction. Finalement, elle se rend compte qu’il ne reste plus qu'un dernier biscuit dans le paquet. Avec calme, elle tend la main, le prend et, avec beaucoup de douceur, le coupe exactement à la moitié et me le tend avec un sourire amoureux.
— Merci ! lui ai-je répondu en l’observant.
— De rien, répond-elle, sans cesser de sourire et en mangeant sa moitié.
Le train arrive. La femme se lève, ramasse ses affaires et monte dedans. Au démarrage, depuis le wagon, elle me regarde.
Le train se met brusquement en branle. Je la vois ôter les bretelles de sa robe et, souriante, me montrer ses seins à travers la vitre ouverte.
Putain, protesté-je, abasourdi. Ils sont superbes ! En plus, ses mamelons sont ronds et roses !
Le train s'éloigne, de plus en plus vite. Déçu, je ne quitte pas des yeux ses seins s’en allant, jusqu’à ce que l’on ne voie plus qu’un point lointain. Lentement, je m’apprête à partir, mais sur le siège, je découvre sa revue et un papier chiffonné.
Je m’arrête pour en savoir la nature. Calle esmeralda, entre Golfito et Bello Monte. Résidence Costa azul. Je t’attends.
J'ai fait quelques modifs et OK. Tu peux aller chercher ton texte, relire, t'assurer qu'aucun phrase ne manque, remettre la mise en page de la V.O. et m'envoyer ça par mail.
Bien reçu ?
Oui. Et j'ai relu et publié. Il manque une phrase ??????
Oui ! Même plus, à partir de la phrase 50, pourtant je me rappelle les avoir traduites !
A partir de "Empieza a leer sin prisa, mientras hojea la revista" jusqu'à " los pechos bien cuidados."
Renvoie-moi un mail dans lequel tu me redis exactement les sections qui manquent et je me débrouillerai.
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