Pero el robot logró entender la diferencia entre robots y humanos… era el alma.
- Ah « sauf que » est une bonne idée – et je vois que tu te souviens du petit faible que j'ai pour cette tournure… Si elle ne peut pas servir de substitut à « mais » dans tous les cas – par exemple parce qu'elle est un peu oral –, elle est très bien ici : on entend le ton un peu narquois et vengeur du narrateur. - Je pense qu'on peut faire l'économie de « réussi », inutile et un peu lourd. - La différence… On ajoute « qu'il y avait » ? J'hésite. - Pour mettre bien « âme » en relief… au bout des points de suspension, je crois qu'on devrait carrément supprimer le verbe.
Oui, c'est une idée… mais je me demande si on ne change pas un peu en explicitant (tu sais que c'est une de mes bêtes noires ; d'être lourde en expliquant et non en traduisant), en créant un lien logique qui n'y est pas ou qui se laisse deviner pour bien laisser toute sa place à la chute : l'âme.
Sauf que le robot avait compris la différence qu'il avait entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Je préfère qu'on enlève le dernier verbe – je ne répète pas l'argumentation : mise en relief, etc. Et d'accord, allons globalement vers la simplification :
Sauf que le robot avait compris la différence entre les robots et les humains... l'âme.
8 commentaires:
Sauf que le robot avait réussi à comprendre la différence entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Je me demande si ajouter "que" après "comprendre" ne serait plus judicieux...
Sauf que le robot avait réussi à comprendre QUE la différence entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Pero el robot logró entender la diferencia entre robots y humanos… era el alma.
- Ah « sauf que » est une bonne idée – et je vois que tu te souviens du petit faible que j'ai pour cette tournure… Si elle ne peut pas servir de substitut à « mais » dans tous les cas – par exemple parce qu'elle est un peu oral –, elle est très bien ici : on entend le ton un peu narquois et vengeur du narrateur.
- Je pense qu'on peut faire l'économie de « réussi », inutile et un peu lourd.
- La différence… On ajoute « qu'il y avait » ? J'hésite.
- Pour mettre bien « âme » en relief… au bout des points de suspension, je crois qu'on devrait carrément supprimer le verbe.
Tu récapitules ?
Oui, c'est une idée… mais je me demande si on ne change pas un peu en explicitant (tu sais que c'est une de mes bêtes noires ; d'être lourde en expliquant et non en traduisant), en créant un lien logique qui n'y est pas ou qui se laisse deviner pour bien laisser toute sa place à la chute : l'âme.
Sauf que le robot avait compris la différence entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Comme ça... ?
J'ai aussi pensé à "qu'il y avait" :
Sauf que le robot avait compris la différence qu'il avait entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Mais, ça fait un cacophonie...
Mini-parenthèse : cacophonie est féminin (une)
Sauf que le robot avait compris la différence qu'il avait entre les robots et les humains... c'était l'âme.
Je préfère qu'on enlève le dernier verbe – je ne répète pas l'argumentation : mise en relief, etc.
Et d'accord, allons globalement vers la simplification :
Sauf que le robot avait compris la différence entre les robots et les humains... l'âme.
Sauf que le robot avait compris la différence qui existait entre les robots et les humains... l'âme
Oui, j'ai oublié le "peu" entre un et cacophonie... peu importe...
D'accord, je n'avais pas compris que tu parlais de faire l'ellipse du dernier verbe. Oui, c'est très bien comme ça.
Enregistrer un commentaire