Esos habían sido los buenos tiempos; ahora se encontraba en el ocaso de su existencia, convertido en un anónimo y filantrópico anciano que intentaba vivir sus últimos días en soledad.
Traduction temporaire :
C'était le bon temps ; aujourd'hui, il se trouvait au seuil de son existence et n'était plus qu'un anonyme et vieux philanthrope qui s'efforçait de vivre ses derniers jours dans la solitude.
C'était le bon temps ; aujourd'hui, il se trouvait au seuil de son existence et n'était plus qu'un anonyme et vieux philanthrope qui s'efforçait de vivre ses derniers jours dans la solitude.
11 commentaires:
J'étais persuadée d'avoir envoyé quelque chose... mais apparemment non :
C'était la belle époque ; à présent, il se trouvait à la fin de sa vie, un anonyme et vieux philanthrope qui s'efforçait de vivre ses derniers jours en solitaire.
Amélie, ta phrase me va (les autres aussi d'ailleurs).
1)Je vais vérifier, mais il me semble qu'on a déjà utilisé "à présent".
2)Je pense qu'il faut garder le mot "existence". Je sais qu'on dit plutôt "fin + vie", mais j'ai l'impression que le terme existence (sans doute à cause de mes vieux cours de philo) prend tout son sens ici. Après je me fais peut-être des idées. Qu'en pensez-vous ?
Esos habían sido los buenos tiempos; ahora se encontraba en el ocaso de su existencia, convertido en un anónimo y filantrópico anciano que intentaba vivir sus últimos días en soledad.
1) « Belle époque » m'ennuie… parce que ça correspond à quelque chose de précis en français : les années 20, etc.
2) Pour « à présent » ; j'attends le résultat de la vérification de Cloé.
3) Pour « ocaso », vous ne pouvez pas trouver un terme un poil plus « poétique » – et je le mets entre guillemets car vous savez ce que je pense du critère du « joli » en traduction ;-) Mais là, quand même, sortez un peu votre harpe du placard.
4) À propos de la question de Cloé :
« vie » ou « existence » ; est-ce que nous avons l'un ou l'autre auparavant ?
4) Tu as supprimé « convertido » ; c'est une idée… mais en l'enrichissant un peu, peut-être qu'on pourrait justement l'utiliser pour souligner le ton nostalgique du propos.
5) « en solitaire »… me donne une curieuse impression de jargon sportif. Si je dis n'importe quoi, n'hésitez pas à me le dire… Ça gratte et ça pique à l'oreille, mais il se peut que je ne sois pas objective.
Je vous écoute.
2) Nous avons déjà utilisé "à présent" ainsi que "désormais"
4) Nous n'avons utilisé ni "vie" ni "existence". Il y a juste "vivre" dans la même phrase.
2) « aujourd'hui » .
4) Alors « existence ».
Tu essaies de modifier la phrase avec les indications que j'ai données dans mon précédent commentaire ?
1)Pour le début de la phrase, je ne vois pas : je suis d'accord que "la belle époque" est trop connotée, mais "le bon temps" aussi...
2)J'ai supprimé "convertido" car je ne m'en sortais pas avec autre chose que "devenu" ou "transformé", que nous avons déjà dans les phrases précédentes. Et je n'y arrive toujours pas donc je ne mets rien et je vous laisse la parole.
3) C'est vrai que : "il a gagné la course en solitaire", c'est assez prisé des journalistes sportifs.
C'était les temps heureux ; aujourd'hui, il se trouvait au terme de son existence, un anonyme et vieux philanthrope qui s'efforçait de vivre ses derniers jours dans la solitude.
1) Je ne vois pas trop quelle autre solution nous avons… « Le bon temps » fait un peu vieux papi breton, en effet, mais à tout prendre, n'est-ce pas moins pire que « la belle époque » ?
2) n'était plus que…
3) « au seuil de son existence » !
Vas-y reprends…
Je ne relèverai pas l'adjectif utilisé... car je suis certaine qu'à Verdun ou à Mont-de-Marsan, les papys aussi utilisent cette expression ;) (le mien de le dit jamais, soit dit en passant).
C'était le bon temps ; aujourd'hui, il se trouvait au seuil de son existence et n'était plus qu'un anonyme et vieux philanthrope qui s'efforçait de vivre ses derniers jours dans la solitude.
À Verdun ? Tiens, pourquoi Verdun ? Je passe le message à Laëtitia Sw., qui sera certainement contente que tu lui rappelles ses affreux Gremlins ;-)
Pour ce qui est de la vérification qui s'impose (« le mien de le dit jamais, soit dit en passant »), je pense que je n'ai pas le choix : contacter directement M. l'Allumette et lui poser la question ;-)
Je trouve le résultat pas mal… Confirme-moi juste que nous n'avons pas « trouver » / « se trouver » dans ce qui précède.
Pas de "trouver" à l'horizon, tu peux publier :).
Tout de suite !
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