No se preocupó en tapar la bocina del teléfono y pude oír cómo llamaba a gritos a su secretaria y luego al mensajero de la editorial.
Traduction temporaire :
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler d'abord sa secrétaire, ensuite le coursier de la maison d'édition.
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler d'abord sa secrétaire, ensuite le coursier de la maison d'édition.
22 commentaires:
Il ne prit pas la peine de couvrir le combiné du téléphone et je l'entendis appeler à grands cris sa secrétaire puis le messager de la maison d'édition.
Il ne prit pas soin de couvrir le combiné et je pus l’entendre appeler en criant sa secrétaire, puis le messager de la maison d’édition.
Il ne prit pas la peine de couvrir le combiné et je l'entendis appeler à grands cris sa secrétaire puis le messager de la maison d'édition.
On peut peut-être supprimer pouvoir, oui.
Mais je ne crois pas que "du téléphone" soit nécessaire.
Quant à la virgule, je ne sais pas...
1) Oui pour « la peine » (rend bien l'idée qu'il s'en fiche).
2) Croyez-vous nécessaire d'ajouter « téléphone » après « combiné » ?
3) virgule + « de sorte que je pus » ?
4) Je ne sais pas quoi penser de vos deux propositions pour l'appel de la secrétaire… Réfléchis-y et voyez si vous trouvez mieux.
5) Si on dit « puis », est-ce que ce ne serait pas bien de souligner le balancement en commençant par « d'abord » ?
6) « messager » ???????? Comment appelle-on celui qui porte les plis et paquets dans une entreprise ? Attention à la trad littérale ;-)
Émilie… nos commentaires se sont croisés. Tiens compte de mes dernières remarques.
Il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, de sorte que je pus l'entendre héler sa secrétaire, d’abord, puis le coursier de la maison d'édition.
J'avais bien pensé à "héler", mais bof.
Le coursier, bien sûr...
Il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, de sorte que je pus l'entendre appeler avec force cris d'abbord sa secrétaire puis le coursier de la maison d'édition.
Pourquoi pas :
Il ne prit pas la peine de couvrir le combiné ; de sorte que je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire, d’abord, le coursier de la maison d'édition, ensuite.
?
Sinon, maintenant que le grand nettoyage est fait, est-ce qu'on ne devrait pas commencer la phrase par « vu ». Pas sûre. Vous me direz.
En commençant par « vu que », on enlèverait alors « de sorte que » :
Vu qu'ne prit pas la peine de couvrir le combiné ; je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire, d’abord, le coursier de la maison d'édition, ensuite.
Ça demande de supprimer le point-virgule ;
Vu qu'il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire, d’abord, le coursier de la maison d'édition, ensuite.
Qu'en pensez-vous ?
Il me semblait que le "vu que" sonnait un peu familier, mais je me trompe peut-être.
Pas sûre que ça poserait problème pour le ton du récit… mais nous ne sommes pas assez avancées pour le dire. Est-ce que ça résoudrait la question si on passait par « comme » ?
Je trouve que le "comme" va mieux, oui, mais ça se discute.
Donne la phrase avec « comme » – encore une fois, il faut qu'on juge sur pièce.
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire, d’abord, le coursier de la maison d'édition, ensuite.
(je n'ai pas encore les bons réflexes!)
Ok pour « comme » – rien ne nous empêche de garder « vu » en stock pour la période des relectures.
Pour le reste, je trouve le balancement « d'abord » / « ensuite » assez lourd… Je ne sais pas si c'est à cause de la syntaxe. Essayez une autre combinaison.
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire d’abord, puis le coursier de la maison d'édition.
Comme ça ce n'est pas un peu moins lourd?
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler sa secrétaire, avant le coursier de la maison d'édition.
Que pensez-vous de :
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler d'abord sa secrétaire, ensuite le coursier de la maison d'édition.
Ca me paraît bien.
Comme il ne prit pas la peine de couvrir le combiné, je pus l'entendre hurler pour appeler d'abord sa secrétaire, ensuite le coursier de la maison d'édition.
OK pour moi
Je mets la suite.
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