Caer de un cuarto piso es suficiente para aniquilarse, balanceó la mano y sonrió sin mostrar los dientes mientras las puertas la engullían.
Traduction temporaire :
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main et a esquissé un sourire tandis que les portes l'avalaient.
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main et a esquissé un sourire tandis que les portes l'avalaient.
6 commentaires:
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se tuer ; elle balança sa main, un sourire aux lèvres, alors que les portes l'avalaient.
1) Il n'a pas choisi « tuer » ; donc n'explicite pas là où ça n'est pas explicité… sous peine de tomber dans la réécriture et de trahir la V.O.
2) « balancer » ?
3) « sonrió sin mostrar los dientes » ?
(encore une fois, attention aux premiers jets ; manque de concentration)
4) « tandis que… »
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle a mis sa main en équilibre, a souri sans montrer les dents, tandis que les portes l'avalaient.
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle a mis sa main en équilibre, a souri sans montrer les dents, tandis que les portes l'avalaient.
Mais non, tu ne comprends pas cette histoire de main : elle lui dit au revoir d'un petit signe.
« souri sans montrer les dents » ne va pas… ; tu n'es pas obligée de traduire littéralement. Il suffit de faire comprendre qu'elle sourit faiblement… Elle n'éclate pas de rire, quoi.
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main, a esquissé un sourire, tandis que les portes l'avalaient.
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main, a esquissé un sourire, tandis que les portes l'avalaient.
Voilà mais on va supprimer la dernière virgule.
Tomber d'un quatrième étage est suffisant pour se détruire ; elle m'a adressé un petit signe de la main et a esquissé un sourire tandis que les portes l'avalaient.
Perrine ?
Justine, je te mets la suite.
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