La desazón que no me dejaba tranquilo se originó con el extravío de ese libro y, no precisamente con ese ejemplar, sino con el que debería estar en la casa de esa tal Margarita Linares, que decía ser mi esposa.
Traduction temporaire :
La contrariété qui perturbait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas cet exemplaire-ci, non, celui qui devait se trouver chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
La contrariété qui perturbait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas cet exemplaire-ci, non, celui qui devait se trouver chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
11 commentaires:
L’inquiétude qui ne me quittait pas avait commencé avec la disparition de ce livre – pas de cet exemplaire-ci, mais de celui qui se trouvait sans doute chez cette Margarita Linares, qui se prétendait mon épouse.
(je crois que mon 1er commentaire n'a pas fonctionné)
La contrariété qui me troublait provenait de la perte de ce livre et pas particulièrement de l'exemplaire sus-nommé, mais plutôt de celui qui devrait être chez cette Margarita Linares qui prétendait être mon épouse.
1) Pour « desazón » vérifiez… et mettez-vous d'accord. Croisez évidemment les définitions du dictionnaire unilingue et le contexte.
2) « que no me dejaba tranquilo » ; essayez de trouver quelque chose de plus proche de la V.O. – le sens.
3) « se originó » – voir avec « origine » ou « source » (et vérifiez pour les répétitions)
Faisons déjà cela et nous nous occuperons du reste ensuite.
L'inquiètude qui me rongeait prenait sa source dans la perte de ce livre et pas particulièrement de l'exemplaire sus-nommé, mais plutôt de celui qui devrait être chez cette Margarita Linares qui prétendait être mon épouse.
L'inquiètude qui me rongeait prenait sa source dans la perte de ce livre et pas particulièrement de l'exemplaire sus-nommé, mais plutôt de celui qui devrait être chez cette Margarita Linares qui prétendait être mon épouse.
Justine – attention à tes accents ! inquiÉtude !
1) Je ne suis pas très sûre pour « inquiétude » / « contrariété ». Émilie j'attends de nouveau ton avis sur le sujet.
2) « qui ne rongeait » est peut-être un peu fort, mais l'idée est bonne pour régler la question de « no me dejaba tranquilo ». Vois tu peux faire mieux. Ce qui m'ennuie, c'est que c'est un peu fort…
3) « avait sa source dans la disparition de livre… »
4) Pas de tiret ; attention au recours systématiquement à ce genre de petits trucs… Étant moi-même une adepte de cette béquille-là, je préviens contre d'éventuelles dérives ;-)
5) En revanche, pas besoin de « et » + « pas particulièrement de l'exemplaire sus-nommé » = simplifie !!!!!
6) Pas besoin de « plutôt ».
7) « qui devrait être » : pb de temps
8) Virgule après « Linares ».
9) « qui prétendait être mon épouse ». OK
desazón.
1. f. Malestar físico vago.
2. f. picazón (‖ molestia que causa un picor).
3. f. Disgusto, pesadumbre, inquietud interior.
Peut-être que "contrariété" va mieux, oui. Il y a aussi "agacement", mais par rapport au contexte je ne suis pas sûre.
La contrariété qui troublait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas particulièrement de cet exemplaire, mais de celui qui devait être chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
La contrariété qui troublait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas particulièrement de cet exemplaire, mais de celui qui devait être chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
Je propose à partir de cette base :
La contrariété qui perturbait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas cet exemplaire-ci, non, celui qui devait se trouver chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
OK ?
La contrariété qui perturbait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas cet exemplaire-ci, non, celui qui devait se trouver chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
OK pour moi.
Justine ?
La contrariété qui perturbait ma tranquillité avait sa source dans la disparition de ce livre, pas cet exemplaire-ci, non, celui qui devait se trouver chez cette Margarita Linares, qui prétendait être mon épouse.
OK pour moi.
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