Luego quise vincularla a algún primo mío poco frecuentado, con una segunda esposa que yo desconocía o quizás una amante dispuesta a correr riesgos.
Traduction temporaire :
Ensuite, je la reliai à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Ensuite, je la reliai à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
15 commentaires:
Ensuite, je la reliai à un de mes cousins que je voyais peu, c'était peut-être sa deuxième femme que je ne connaissais pas ou alors une amante prête à prendre des risques.
Je voulus ensuite l’associer à un cousin que ne voyais pas souvent, susceptible d’avoir une deuxième femme que je n’aurais pas connue ou peut-être une maîtresse prête à tout.
1) Oui pour « ensuite » et en tête de phrase – cf même raison que précédemment.
2) Il faut traduire « quise ». Une idée à part « vouloir » ?
3) Oui pour « relier ».
4) Il faut qu'on comprenne qu'il ne fait pas référence à un cousin précis… quelque chose de vague.
5) Passez par « rarement ».
6) Bonne idée « susceptible ».
7) Cette fois, essaie de caser « épouse » ; mais sans que ça fasse trop formel.
8) Je ne comprends pas trop la fin… Outre me donner la traduction, essayez de me clarifier les choses.
Ensuite, il me prit l’envie de la relier à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je n’aurais pas connue ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Je suppose qu'il ne connaît aucune Margarita Linares dans sa famille, et donc qu'il conclut à une relation secrète entre celui qui est forcément un parent à lui et cette femme.
Ensuite, j'aimai à le relier à un de mes lointains cousins que je voyais rarement, susceptible d'avoir une deuxième épouse que je ne connaissais pas ou une maîtresse prête à prendre des risques.
Pour la fin, je pensais que l'auteur voulait peut-être dire que la maîtresse du personnage acceptait de prendre le risque que la femme découvre l'infidélité de son mari.
Ensuite, X (à reprendre ici) la relier à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je n’aurais pas connue (un temps plus simple, peut-être) ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Ensuite, je tentai de la relier à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
On a déjà "tenter de", mais loin (phrase 41), et "essayer" phrase 31.
Je pense aussi à "prétendis la relier":
Ensuite, je prétendis la relier à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Et « chercher », l'a-t-on déjà ? Ce serait le mieux.
On a déjà « prétendre » également
Ensuite, je choisis de la relier à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
On l'a déjà, oui, phrases 55-56 (— Le coursier a cherché à lui expliquer ce bazar de double numérotation et lui a donné ton nom complet…), mais c'est peut-être assez loin...
Oui, non avons déjà « chercher » à deux reprises.
Je me demande si finalement ça n'est pas la solution de Justine du début la mieux : supprimer « quise ».
Ensuite, je la reliai à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Pourquoi pas.
Ensuite, je la reliai à quelque cousin que je n’aurais vu que rarement, susceptible d’avoir une deuxième épouse que je ne connaîtrais pas ou alors une maîtresse ayant le goût du risque.
Nous sommes d'accord ;-)
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