Los escasos transeúntes que cruzaba a esa hora, podían imaginarlo perdido. Pero se equivocaban. Él lo tenía claro a dónde quería llegar.
Traduction temporaire :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
14 commentaires:
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.
J'hésite entre "imaginer" et "s'imaginer" :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient s'imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.
Prends l'habitude de ne proposer qu'une seule solution ; ça fera partie de ton travail de traductrice… savoir trancher, même quand tu es dans l'hésitation et le doute.
J'attends que tu le fasses pour commenter ;-)
Je me doutais que ce genre de commentaire arriverait tôt ou tard... :)
Et dans ce cas je choisis la première :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il ne savait pas clairement où il voulait arriver.
Dans la mesure où le texte est au passé, il vaut mieux « à cette heure-là »
« imaginer » ou « croire » ? J'hésite.
Fais des phrases différentes, comme en V.O.
Commence la deuxième par « or ».
La fin ne va pas… Tu ne dirais pas cela spontanément en français. À reprendre en te focalisant strictement sur le sens.
Je crois que justement, il sait où il veut aller. Les passants pensent qu'il est perdu mais il est sûr de son chemin.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il savait clairement où il voulait arriver.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu, or ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-ci pouvaient imaginer qu’il était perdu, mais ils se trompaient. Il savait clairement où il voulait arriver.
Ta proposition est arrivée après mon commentaire…
Fais la synthèse de tout – histoire qu'on ne parte pas sur deux versions différentes, qu'il sera ensuite difficile de fusionner.
Merci Julie, j'ai lu 10 fois de suite "Él no tenía"...
J'essaye de tout regrouper :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Petite précision : Je n'ai pas remis croire parce que je trouvais que ça se "répétait" avec "croiser", mais je le mets pour que tout le monde se rende compte :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient croire qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait arriver.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient croire qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait arriver.
Dans ce cas, ok pour « imaginer ». Tu remets la bonne version, stp ?
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Je te propose :
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
OK ?
Ok!
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
Les rares passants qu’il croisait à cette heure-là pouvaient très bien s'imaginer qu’il était perdu. Or, ils se trompaient. Il savait exactement où il voulait aller.
OK!
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