Caminaron juntos sin hablar demasiado, más bien poco, cosa que podría preocupar a cualquiera, pero no a él que una especie de emoción inédita no me permitía actuar con normalidad.
Traduction temporaire :
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, sauf lui qui sous l'emprise d'une émotion inédite ne parvenait pas à agir normalement.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, sauf lui qui sous l'emprise d'une émotion inédite ne parvenait pas à agir normalement.
25 commentaires:
Je suis en train de tenter quelque chose, mais je suis très gênée par le "me permitía". Je ne comprends pas ce que vient faire le "me" dans cette phrase, ni l'imparfait. Je creuse la question...
OK…
Sache que moi, je n'interviens que lorsque vous proposez une traduction. Le cas échéant, tu te feras aider par Julie.
Je tente un premier jet :
Ils marchèrent tous les deux sans trop parler, plutôt peu, chose qui pourrait préoccuper n’importe qui : une espèce d’émotion inédite ne me permettait pas d’agir normalement, mais lui si.
1) « tous les deux » : simplifie.
2) « assez » à la place de « plutôt » et ajoute « en fait » après.
3) Tiret après « en fait ».
4) « chose qui pourrait préoccuper n’importe qui » ; très maladroit… Passe par « De quoi… »
5) La fin, avec les deux points, etc. ne va pas du tout. Attention à l'usage des deux points (introduit une énumération ou une explication).
J'avoue que je suis un peu perdue aussi avec ce "me". Et en essayant de traduire de mon côté, je n'ai pas trouvé bien mieux que la proposition de Manon.
Au lieu de "préoccuper" je voulais proposer "inquiéter" mais ça ne change pas grand chose.
Le "que" est lié à "pero no a él" et dans cette proposition on l'enlève.
Julie : n'oublie pas de mettre ta proposition avec les changements… à la fin. Sinon, on ne peut pas se rendre compte.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait - chose qui pourrait inquiéter n’importe qui mais pas lui alors qu'une espèce d’émotion inédite ne me permettait pas d’agir normalement.
Pour la fin, je pense ne pas avoir pas compris.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait - chose qui pourrait inquiéter n’importe qui mais pas lui alors qu'une espèce d’émotion inédite ne me permettait pas d’agir normalement.
Attention de bien lire mes commentaires : « De quoi » à la place de « chose qui ».
Pour le « me », je pense que c'est une coquille.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait - de quoi inquiéter n’importe qui, mais pas lui qu'une espèce d’émotion inédite empêchait d’agir normalement.
Je fais une tentative en considérant que le "me" est un "le":
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, mais pas lui, car une espèce d’émotion inédite l’empêchait d’agir normalement.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait - de quoi inquiéter n’importe qui, mais pas lui qu'une espèce d’émotion inédite empêchait d’agir normalement.
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, mais pas lui, car une espèce d’émotion inédite l’empêchait d’agir normalement.
J'avoue que je ne comprends pas… et je me demande s'il n'y a pas un problème. Je vous propose qu'on demande à Elena ; en tant qu'hispanophone, elle nous dira si c'est nous qui n'avons pas les yeux en face des trous ou si c'est une vraie coquille.
Elena, qu'en penses-tu ?
Une amie espagnole vient de me dire que, d'après elle, le "me" doit bien être un "le", mais selon elle, il manque autre chose, sûrement avant le "que". Elle me dit que même avec un "le", ça n'a pas de sens... Attendons donc l'avis d'Elena !
Bonsoir !
Je voudrais bien, si possible, la phrase suivante, juste pour confirmer et ne pas faire un CS.
Je mets les 5 ou 6 phrases suivantes :
Sin embargo, de madrugada, todo era distinto. El viento y la garúa, lo distraían de su borrachera e intentaban despertarlo para traerlo a tierra. No podían. Mamey caminaba y recordaba aquella tarde, lo que hizo y dijo, pero más aún lo que no hizo y no dijo. Se trataba de la primera vez que acompañaba a una niña a cualquier parte, se trataba de la primera vez que sentía esa clase de cosas. Demasiadas sensaciones para actuar correctamente, para reaccionar de la mejor manera, rápido, como estaba acostumbrado. Se disculpaba, pero volvía a condenarse.
Le logique voudrait que ce "me" soit un "le", car il semblerait que le narrateur est externe.
Je pense que Caroline a raison, il s'agit bien d'une coquille.
Caminaron juntos sin hablar demasiado, más bien poco, cosa que podría preocupar a cualquiera, pero no a él que una especie de emoción inédita no LE permitía actuar con normalidad.
Caminaron juntos sin hablar demasiado, más bien poco, cosa que podría preocupar a cualquiera, pero no a él que una especie de emoción inédita no LE permitía actuar con normalidad.
Oui… je crois que sur ce point, nous sommes d'accord ; mais je t'avoue que cela ne règle pas mon problème de compréhension. Regarde ce qu'il y a avant / après et dis-moi comment tu interprètes ça. Merci !
Ah, oui, j'ai parlé juste de la logique syntaxique.
Pour le "QUE" dont parle Manon : il remplace souvent "a quien", etc. Le "que" devient une espèce de "passe par tout".
Sinon, je pense qu'il y a un va-et-vient rétrospectif : le personnage est en train de se souvenir de la première fois qu'il a raccompagné une fille près de chez-elle, un soir où il a bu un peu trop et il s'en veut de ne pas avoir été à la hauteur des circonstances.
C'est vrai que ce n'est pas facile à comprendre. L'auteur n'utilise pas beaucoup les connecteurs logiques du type : "ahora", ou bien ils sont implicites. Par exemple :
Sin embargo, AHORA de madrugada, todo era distinto.
Donc, tout se mélange un peu… C'est peut-être l'effet recherché. Je ne sais pas si ça vous aide…
Je tente une traduction (pour le début je ne suis pas sûre de l'expression) :
Caminaron juntos sin hablar demasiado, más bien poco, cosa que podría preocupar a cualquiera, pero no a él que una especie de emoción inédita no LE permitía actuar con normalidad.
"Ils marchèrent côte-à-côte sans dire grand-chose, ou / voire très peu, ce qui aurait pu inquiéter n'importe qui, sauf lui qui sous l'emprise d'une émotion inédite ne parvenait pas à agir normalement."
Julie / Manon, que pensez-vous de l'aide apporter par Elena – que je remercie ?
Juste une dernière petite remarque : je pense qu'il faut aussi "se méfier" de la concordance de temps. Dans le texte en V.O., le plus-que-parfait cohabite aisément avec le passé simple pour exprimer quelque chose qui se situe dans la même antériorité. Je ne sais pas si ça serait possible en français. À vous de voir…
Je tenterais un mélange entre le début que Julie et moi avions et la fin d'Elena:
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, sauf lui qui sous l'emprise d'une émotion inédite ne parvenait pas à agir normalement.
Voilà… Alors, qu'en pensez-vous ?
Ils marchèrent ensemble sans trop parler, assez peu en fait – de quoi inquiéter n’importe qui, sauf lui qui sous l'emprise d'une émotion inédite ne parvenait pas à agir normalement.
Ça me semble compact. Julie, qu'en penses-tu ?
Espérons qu'il n'y ait pas trop de coquilles comme ça dans le texte… – car non seulement ça n'est pas agréable à traduire, mais ça nous oblige à avancer comme des escargots.
Je viens de recevoir un mail de Julie, qui m'indique qu'elle est d'accord… Elle pourra bientôt se connecter sur le blog. En attendant, Manon, tu peux continuer. Je te mets la suite.
Enregistrer un commentaire