Pero sabían que sí existían porque las madrugadas estaban acompañadas de esos chillidos enloquecedores que hacían que nadie se atreviera a salir de sus hogares.
Traduction temporaire :
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.
9 commentaires:
Pero sabían que sí existían porque las madrugadas estaban acompañadas de esos chillidos enloquecedores que hacían que nadie se atreviera a salir de sus hogares.
1) "las madrugadas estaban acompañadas" : je pense qu'on doit s'éloigner de la traduction littérale. Mais dans quelle mesure ?
2) "que hacían que nadie" : "qui faisaient que personne" : peut-être pas très heureux ?
3) "se atreviera a" : j'ai choisi le verbe "oser" : on a bien fait de mettre ce verbe en réserve un peu plus haut...
4) "salir de sus hogares" : "sortir de chez lui / soi" ?
Mais ils savaient qu’ils existaient réellement parce que dès l'aube, on entendait leurs couinements affolants qui faisaient que personne n’osait sortir de chez lui.
Et pourtant, ils savaient qu'ils existaient parce qu'ils entendaient toujours à l'aube ces glapissements exaspérants, de sorte que tout le monde restait chez soi.
J'ai contourné "personne", nous l'avons déjà plusieurs fois.
3) Nous avons "oser" une fois…
1) Oui pour « Et pourtant » ; ça fait un bon enchaînement.
2) Je me demande si ça ne serait pas plus fort avec « ils n'ignoraient pas » plutôt que « ils savaient ». Qu'en pensez-vous ?
3) Pour al suite, vous avez toutes les deux changé et c'est dommage ; revenez à la V.O.
Et pourtant, ils n'ignoraient pas qu'ils existaient parce que le lever du soleil s'accompagnait de ces couinements épouvantables, de sorte que tout le monde restait chez soi.
Et pourtant, ils n'ignoraient pas qu'ils existaient parce que le lever du soleil s'accompagnait de ces couinements épouvantables, de sorte que tout le monde restait chez soi.
Je te propose :
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.
On répète "couinements" ?
C'est parfait !
Et pourtant, ils ne pouvaient ignorer qu'ils existaient, chaque lever du soleil étant immanquablement accompagné de ces couinements, tellement épouvantables que tout le monde restait cloîtré chez soi.
On verra après pour « couinements ».
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