Muchos tenían la esperanza de que algún día, por tanta hambre, se comiesen unas a otras y que al fin se acabaría la plaga.
Traduction temporaire :
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entredévorent, mettant ainsi enfin un terme à ce fléau.
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entredévorent, mettant ainsi enfin un terme à ce fléau.
9 commentaires:
Muchos tenían la esperanza de que algún día, por tanta hambre, se comiesen unas a otras y que al fin se acabaría la plaga.
1) "se comiesen unas a otras" : j'avais d'abord pensé au verbe "dévorer" mais comme on va pouvoir le placer à propos dans une prochaine phrase, je préfère l'économiser ici, d'autant qu'avec la précision "unas a otras", il valait mieux chercher un verbe qui fasse "coup double" en français.
2) "al fin se acabaría" : deux fois l'idée de fin en espagnol : je ne l'ai rendue qu'une fois en français (pour éviter un pléonasme).
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s’entre-tuent, et qu'on en finisse avec ce fléau.
Nombreux étaient ceux qui avaient encore l'espoir qu'un jour ou l'autre, affamés, ils se mangeraient entre eux en mettant fin une fois pour toutes à ce fléau.
Je corrige...
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s’entretuent, et qu'on en finisse avec ce fléau.
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s’entretuent et qu'on en finisse avec ce fléau.
Outre la dernière virgule, que j'ai supprimée, je trouve bonne cette solution.
Ok Elena ?
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim,
Je suis d'accord jusque-là.
Pour la fin :
- il manquerait traduire : "al fin".
- le "on" me dérange, voilà pourquoi je l'avais contourné.
Question : On laisse le verbe au présent : "s'entretuent" ?
Peut-être comme ceci ?
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entretuent, mettant fin à ce fléau une fois pour toutes.
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entretuent, mettant fin à ce fléau une fois pour toutes.
Bon… Je propose :
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entredévorent, mettant ainsi enfin un terme à ce fléau.
OK ?
Beaucoup nourrissaient l’espoir qu’un jour, tenaillés par la faim, ils s'entredévorent, mettant ainsi enfin un terme à ce fléau.
OK !
Laëtitia ?
OK !
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