La cabaña fue tapiada por fuera. No quedó ningún solo agujero en las paredes, pero nadie se atrevió a hacerlo con la puerta porque cada vez que se acercaban el chillido de las ratas era ensordecedor y el temor les hacía huir.
Traduction temporaire :
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher. Les couinements des rats étaient tellement assourdissants, que chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait immédiatement de peur.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher. Les couinements des rats étaient tellement assourdissants, que chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait immédiatement de peur.
19 commentaires:
La cabane fut murée de l'extérieur. Pas un seul trou des murs ne fut négligé, mais personne avait osé s'attaquer à la porte. En effet, à chaque fois qu'ils s'en approchaient, le glapissement des rats était assourdissant et la peur les faisait fuir.
1) « Pas un seul trou des murs ne fut négligé, » ; pas de faute et c'est plutôt élégant, mais je crois qu'on devrait rester plus près de la V.O.
2) Passe par « excepté » pour la suite.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou dans les murs, excepté la porte. En effet, à chaque fois qu'ils s'en approchaient, le glapissement des rats était assourdissant et la peur les faisait fuir.
Pas de point après « porte » ; une simple virgule et un truc genre « car »
« ils » ? Qui ? Un indéterminé.
Je crois qu'on a déjà « fuir », non ?
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou dans les murs, excepté la porte, car à chaque fois qu'on s'en approchait, le glapissement des rats était assourdissant qu'on fuyait de peur.
1) Ok, je voulais éviter un autre "car".
2) On peut mélanger "on" et "nous" dans le texte ? Sinon, on peut passer par "les gens".
3) Effectivement, il y avait déjà "fuir".
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou dans les murs, excepté la porte, car à chaque fois qu'on s'en approchait, le glapissement des rats était assourdissant qu'on fuyait de peur.
Je pense qu'on peut supprimer « murs », pour éviter répétition par proximité avec « murée ».
« le glapissement des rats était assourdissant qu'on fuyait de peur. » Pb de sens + supprimer la répétion de « fuir ».
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car à chaque fois qu'on s'en approchait le glapissement des rats était assourdissant et on se sauvait de peur.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car à chaque fois qu'on s'en approchait le glapissement des rats était assourdissant et on se sauvait de peur.
Le « y » n'est pas utile.
À la place du « on », je te propose « quelqu'un ».
Je pense qu'il y a un problème de construction : je ne suis pas convaincue par ce "car"… il faut faire des réajustements de syntaxe.
Peut-être comme ceci ?
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car à chaque fois que quelqu'un s'en approchait le glapissement des rats étant assourdissant, il se sauvait de peur.
La cabaña fue tapiada por fuera. No quedó ningún solo agujero en las paredes, pero nadie se atrevió a hacerlo con la puerta porque cada vez que se acercaban el chillido de las ratas era ensordecedor y el temor les hacía huir.
1) D'accord pour la suppression de "murs" (afin d'éviter la répétition avec "fut murée").
2) Ne peut-on pas tout de même tenter de rendre "nadie se atrevió a hacerlo" ?
3) Oui, passons par "quelqu'un".
4) Un rat ne glapit pas, mais couine ou chicote.
5) Oui, nous avons déjà "fuir" un peu plus haut. Pourquoi pas "se sauver" en effet ?
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher, car à chaque fois que quelqu'un s'en approchait, le couinement des rats étant assourdissant, il se sauvait de peur.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car à chaque fois que quelqu'un s'en approchait le glapissement des rats étant assourdissant, il se sauvait de peur.
CF commentaire précédent le « y » est inutile.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher, car à chaque fois que quelqu'un s'en approchait, le couinement des rats étant assourdissant, il se sauvait de peur.
Croyez-moi nécessaire le morceau de phrase explicitant « , que personne n'osa boucher, » ; j'hésite vraiment… Elena, qu'en penses-tu ?
« glapissements » ou « couinements » ; je vous laisse réfléchir, mais dans les deux cas mettez le pluriel.
« étant » ; la fin de la phrase ne va pas… Je pense qu'il faut changer un peu.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car le glapissement des rats était assourdissant et à chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
1) Je pense que "que personne..." n'est tellement nécessaire ici, nous l'avions écarté en simplifiant la phrase, mais bon…
2) ça m'est égal : glapissement ou couinements, je laisse à Laetitia le soin de choisir ce qui lui semble le mieux.
3) Changer la syntaxe ?
La cabane fut murée de l'extérieur. Il n'y resta pas un seul trou, excepté la porte, car le glapissement des rats était assourdissant et à chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
Il NE resta ; je t'ai dit pas de « y ».
+ d'après le dernier commentaire de Laëtitia, les rats de « glapissent » pas.
« chaque fois » / pas de « à ».
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, car les couinements des rats étaient assourdissants et chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, car les couinements des rats étaient assourdissants et chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
Donc, tu ne juges pas utile l'ajout que proposait Laëtitia – « , que personne n'osa boucher, » ?
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher car les couinements des rats étaient assourdissants et chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
Si, finalement, en changeant la syntaxe, peut-être qu'il vaut mieux l'ajouter.
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher car les couinements des rats étaient assourdissants et chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait de peur.
Je propose une dernière modif :
La cabane fut murée de l'extérieur. Il ne resta pas un seul trou, excepté la porte, que personne n'osa boucher. Les couinements des rats étaient tellement assourdissants, que chaque fois que quelqu'un s'en approchait, il se sauvait immédiatement de peur.
Qu'en pensez-vous ?
J'avais pensé aux chevilles adverbiales, mais comme d'habitude, on ne sait pas trop jusqu'où on peut aller…
Ça me va.
C'est bon pour moi aussi.
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