Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
En réalité, il s'est lui-même chargé d'effrayer ses proches.
« À la vérité » pour le début.« effrayer » = FS.
À la vérité, il s'est lui-même chargé de chasser ses proches.
« chasser » ou « faire fuir » ?
J'ai hésité, je fuis désormais le verbe « faire »… ;-)À la vérité, il s'est lui-même chargé de faire fuir ses proches.
Oui, je m'en suis doutée… mais 1) ne devenons pas obsédées (et je m'adresse ce conseil à moi-même). 2) Là, c'est assez nécessaire.À la vérité, il s'est lui-même chargé de faire fuir ses proches.Pas besoin de passer par « chargé » ; simplifie.
À la vérité, il a lui-même fait fuir ses proches.
À la vérité, il a lui-même fait fuir ses proches.Je ne suis pas satisfaite par cette phrase ; je me demande si on ne devrait pas passer par « de sa faute ».
À la vérité, par sa faute, ses proches ont fuit.
Avec « c'est »… ; sinon, ta phrase est déséquilibrée – d'où toutes ces virgules.
À la vérité, c'est par sa faute que ses proches ont fuit.
J'hésite entre ces deux solutions ; dis-moi :À la vérité, c'est par sa faute que ses proches ont fuit.À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.
J'hésitais aussi, la deuxième me semble malgré tout plus fluide.À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.Erreur de grammaire avec le copier-coller :À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fui.Émilie ?
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fui.OK.
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15 commentaires:
En réalité, il s'est lui-même chargé d'effrayer ses proches.
« À la vérité » pour le début.
« effrayer » = FS.
À la vérité, il s'est lui-même chargé de chasser ses proches.
« chasser » ou « faire fuir » ?
J'ai hésité, je fuis désormais le verbe « faire »… ;-)
À la vérité, il s'est lui-même chargé de faire fuir ses proches.
Oui, je m'en suis doutée… mais 1) ne devenons pas obsédées (et je m'adresse ce conseil à moi-même). 2) Là, c'est assez nécessaire.
À la vérité, il s'est lui-même chargé de faire fuir ses proches.
Pas besoin de passer par « chargé » ; simplifie.
À la vérité, il a lui-même fait fuir ses proches.
À la vérité, il a lui-même fait fuir ses proches.
Je ne suis pas satisfaite par cette phrase ; je me demande si on ne devrait pas passer par « de sa faute ».
À la vérité, par sa faute, ses proches ont fuit.
Avec « c'est »… ; sinon, ta phrase est déséquilibrée – d'où toutes ces virgules.
À la vérité, c'est par sa faute que ses proches ont fuit.
J'hésite entre ces deux solutions ; dis-moi :
À la vérité, c'est par sa faute que ses proches ont fuit.
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.
J'hésitais aussi, la deuxième me semble malgré tout plus fluide.
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fuit.
Erreur de grammaire avec le copier-coller :
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fui.
Émilie ?
À la vérité, c'est sa faute si ses proches ont fui.
OK.
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