dimanche 19 août 2012

Les Ollantay – phrases 229-230

Aún así, era imposible no ver en él a un hombre agónico. Crucé la puerta y, más cerca de él, quedé sorprendido y espantado del parecido entre Braulio y yo. 

Traduction temporaire :
Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. J'entrai et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance qu'il y avait entre Braulio et moi.

15 commentaires:

Justine a dit…

Encore ainsi, il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

Tradabordo a dit…

« Encore ainsi, » ????????????????????????

Justine a dit…

Aussi, ainsi, il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

Tradabordo a dit…

« Aussi, ainsi, » ???????????????

Justine a dit…

Malgré tout, il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.



Tradabordo a dit…

Malgré tout, il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

Commence par « Il n'en restait pas moins évident… »

Justine a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

Tradabordo a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

« Il n'en restait pas moins évident qu'il était impossible de ne pas voir en lui un homme à l'agonie. » ; mais non… Attention de bien relire l'ensemble quand tu ajoutes ou modifies quelque chose.

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie.

Emilie a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. Je passai la porte et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

Ca manque de fluidité, non?

Justine a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. Je passai la porte, et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.




Tradabordo a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. Je passai la porte et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance entre Braulio et moi.

« j'entrais » ; pour éviter, aussi, la répétition de « porte » (cf phrase précédente) ?

« Je fus » ou « je restai » ?

« de la ressemblance QU'IL Y AVAIT » ?

Emilie a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. J'entrai et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance qu'il y avait entre Braulio et moi.

(on a "restait" en début de phrase)

Justine a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. J'entrai ,et, plus près de lui, je restai stupéfait et effrayé de la ressemblance qu'il y avait entre Braulio et moi.

Tradabordo a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. J'entrai et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance qu'il y avait entre Braulio et moi.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Il n'en restait pas moins évident qu'il s'agissait d'un homme à l'agonie. J'entrai et, plus près de lui, je fus stupéfait et effrayé de la ressemblance qu'il y avait entre Braulio et moi.

OK.