III. LOS “OTROS” O LA CIUDAD DE LOS AHOGADOS
—¡Despierta, Roger! ¡Despierta! Alarmado Pablo, sacudía a su hermano con una mano y con la otra blandía un filudo machete apuntando a una silueta que empezaba a tomar forma, en la proa de la embarcación.
Traduction temporaire :
III. LES « AUTRES » OU LA VILLE DES NOYÉS
— Réveille-toi, Roger ! Réveille-toi ! Affolé, Pablo secouait son frère d'une main et brandissait une machette aiguisée de l'autre, désignant une silhouette qui prenait forme à la proue.
Traduction temporaire :
III. LES « AUTRES » OU LA VILLE DES NOYÉS
— Réveille-toi, Roger ! Réveille-toi ! Affolé, Pablo secouait son frère d'une main et brandissait une machette aiguisée de l'autre, désignant une silhouette qui prenait forme à la proue.
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III. LES « AUTRES » OU LA VILLE DES NOYÉS
— Réveille-toi, Roger ! Réveille-toi ! Alarmé, Pablo secouait son frère d'une main et de l'autre brandissait une machette aiguisée, avec laquelle il désignait une silhouette qui commençait à prendre forme à la proue.
Je me demande si ça se dit comme ça, « Alarmé ». Je ne suis pas bien réveillée ce matin… mais j'ai un doute. Vérifie.
Mets « de l'autre » plus loin.
Passe par le gérondif, comme en V.O.
« qui prenait » à la place de « qui commençait à prendre » ; ça simplifiera.
— Réveille-toi, Roger ! Réveille-toi ! Affolé, Pablo secouait son frère d'une main et brandissait une machette aiguisée de l'autre, désignant une silhouette qui prenait forme à la proue.
Alarmé ne s'utilise pas comme ça.
— Réveille-toi, Roger ! Réveille-toi ! Affolé, Pablo secouait son frère d'une main et brandissait une machette aiguisée de l'autre, désignant une silhouette qui prenait forme à la proue.
OK.
Perrine ?
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