Pese a lo inútil de su pregunta – el hedor era acusador – ella entraba con el engañoso desinterés de quien, a los ochenta años, todos los amigos y familiares desaparecidos, la vida solitaria, apacible pero desesperada de una anciana, encuentra una oportunidad para existir.
Traduction temporaire :
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, paisible mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, paisible mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
14 commentaires:
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était accusatrice – elle entrait avec le désintéressement trompeur d’une personne qui, à quatre-vingt ans, dont tous les amis et famille avaient disparu, la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, qui trouve là une occasion pour exister.
Malgré l'absurdité de sa question – la puanteur était révélatrice – elle entrait avec l'indifférence fallacieuse de la personne de quatre-vingt ans, dont tous les amis et les proches ont disparu, qui mène la vie solitaire, paisible, mais désespérée d'une vieille dame qui saisit une occasion d'exister.
Malgré l’inutilité de sa question -la puanteur était accusatrice- elle entrait avec le désintérêt trompeur de quelqu’un qui, à quatre-vingt ans a vu disparaître tous ses amis et parents, mène une vie paisible et solitaire mais désespérée de vieille, trouve dans cette situation une opportunité pour exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était accusatrice [ou par le substantif ?] – elle entrait avec le désintéressement [oui pour « indifférence » proposé par Justine] trompeur d’une personne qui [ce seta mieux avec « de qui »… Je vous laisse voir si ça marche… car il faut adapter le reste de la phrase… Partez sur cette base-là], à quatre-vingt ans, dont tous les amis et famille avaient disparu, la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, qui trouve là une occasion pour exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation – elle entrait avec l'indifférence trompeuse d’une personne de qui, à quatre-vingt ans, tous les amis et famille avaient disparu, la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, qui trouve là une occasion pour exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était accusatrice – elle entrait avec l’indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, mène une vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, et qui trouve là une occasion d’exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était [cheville « en soi » ?] une accusation – elle entrait avec l'indifférence trompeuse d’une personne de qui [non, « de qui » à la place de « d'une personne » ; du coup, comme je l'ai dit précédemment, ça suppose de reprendre la fin], à quatre-vingt ans, tous les amis et famille avaient disparu, la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, qui trouve là une occasion pour exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était en soi une accusation – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à l'âge de quatre-vingt ans, tous les amis et famille disparus, mène la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, qui trouve là une occasion pour exister.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, mène une vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, et qui trouve là une occasion d’exister.
Je vous propose :
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
OK ?
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, apaisante mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
OK.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, paisible mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
OK, sauf que je dirais vie « paisible », au lieu « d'apaisante », non ?.
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, paisible mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
Oui, tu as raison…
OK :)
Malgré l’inutilité de la question – la puanteur était une accusation en soi – elle entrait avec l'indifférence trompeuse de qui, à quatre-vingt ans, a vu disparaître tous ses amis et sa famille, et mène désormais la vie solitaire, paisible mais désespérée d’une vieille dame, trouvant là une occasion d’exister.
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