Una vez que regresamos a la boca del metro, tuve la impresión de volver a nacer. De hecho, sentí alegría al respirar una vez más el aire parisino que, en otras ocasiones, tanto me había fastidiado por sucio.
Traduction temporaire :
Quand nous fûmes de retour à la bouche de métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie de respirer de nouveau l’air parisien qui très souvent pourtant m’avait tellement gêné à cause de sa saleté.
Quand nous fûmes de retour à la bouche de métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie de respirer de nouveau l’air parisien qui très souvent pourtant m’avait tellement gêné à cause de sa saleté.
8 commentaires:
Une fois de retour à la bouche du métro, j’eus l’impression de renaître. En effet, je ressentis de la joie en respirant de nouveau l’air parisien qui, bien des fois, m’avait tellement ennuyé à cause de sa saleté.
Une fois [il faut dire le pluriel, pour rappeler qu'ils sont ensemble] de retour à la bouche du métro, j’eus l’impression de renaître. En effet [place-le ailleurs], je ressentis [ou « éprouver » ?] de la joie en respirant de nouveau l’air parisien qui, bien des fois [trouve quelque chose de plus naturel et sans l'entre-virgule], m’avait tellement ennuyé [mal choisi] à cause de sa saleté.
Une fois remontés à la bouche du métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai de la joie, en effet, en respirant de nouveau l’air parisien qui m’avait souvent tellement dérangé à cause de sa saleté.
Une fois que nous fûmes de retour à la bouche du métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie en respirant de nouveau l’air parisien qui très souvent m’avait tellement embêté à cause de sa saleté.
Une fois que nous fûmes de retour à la bouche du métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie en respirant de nouveau l’air parisien qui très souvent m’avait tellement gêné à cause de sa saleté.
Une fois que [Ce sera plus simple avec « quand »] nous fûmes de retour à la bouche du [« de » ?] métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie en respirant [« de respirer »] de nouveau l’air parisien [pour la suite, avec « pourtant »] qui très souvent m’avait tellement gêné à cause de sa saleté.
Quand nous fûmes de retour à la bouche de métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie de respirer de nouveau l’air parisien qui m'avait pourtant tellement gêné à cause de sa saleté.
Quand nous fûmes de retour à la bouche de métro, j’eus l’impression de renaître. J'éprouvai, en effet, de la joie de respirer de nouveau l’air parisien qui très souvent pourtant m’avait tellement gêné à cause de sa saleté.
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