Envié ochenta y dos currículums. No me llaman. Odio que no respondan, ni siquiera para decir "no". Ahora llamo por teléfono a las empresas amenazándolos con que hay una bomba en el edificio. "Hay una bomba en el edificio", digo.
Traduction temporaire :
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informé-je.
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informé-je.
13 commentaires:
J'ai envoyé quatre vingt deux C.V. Ils ne m'appellent pas. Je déteste qu'ils ne me répondent pas, même pas pour me dire "non". A présent je téléphone aux entreprises et je les menace d'avoir posé une bombe dans leur immeuble. "Il y a une bombe dans votre immeuble", dis-je.
J'ai envoyé quatre vingt deux [pas de tiret ?] C.V. Ils [qui « ils » ?????] ne m'appellent pas. Je déteste qu'ils [idem] ne me répondent pas, même pas [ou « ne serait-ce que » ? Je te laisse trancher] pour me dire "non". A présent [virgule] je téléphone aux entreprises [ou « boîtes » ?] et je [ou « pour les » ?] les menace d'avoir posé [pas exactement ce qu'il dit] une bombe dans leur immeuble. "Il y a une bombe dans votre immeuble [crois-tu que la répétition d' «immeuble soit volontaire » ? Si oui, laisse, si non, supprime]", dis-je.
J'ai envoyé vingt-deux C.V. On ne m'appellent pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour dire "non". A présent, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans l'immeuble (bof...) "Il y a une bombe dans votre immeuble", dis-je.
Désolée pour le retard, beaucoup de choses à faire et de visites en ce moment... je tâche d'être plus assidue ;o)
J'ai envoyé vingt-deux C.V. On ne m'appellent pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour dire "non". A présent, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans l'immeuble (bof...) "Il y a une bombe dans votre immeuble", dis-je.
Désolée pour le retard, beaucoup de choses à faire et de visites en ce moment... je tâche d'être plus assidue ;o)
J'ai envoyé vingt-deux [?????] C.V. On ne m'appellent [grammaire ]pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour dire « non ». À présent, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence [aïe… ça ne va pas avec le « à présent » du début ; vois lequel il faut changer] d'une bombe dans l'immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », dis-je.
J'ai envoyé quatre vingt deux C.V. On ne m'appelle pas.Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans l'immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », dis-je.
J'ai envoyé quatre vingt deux [pas de tirets ? Cf question que je te posais déjà mon tout premier commentaire] C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour [cheville « me » ?] dire « non ». [cheville : « De coup » ? Je te laisse trancher] Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans l' [ou « leur » ?] immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », dis-je [un synonyme un peu plus adapté ?].
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », répliquai-je.
-Oui, des tirets pour quatre-vingt-deux.
-Non, pas de "Du coup", je trouve que ça charge trop.
-"leur", bien sûr...
-un synonyme plus adapté... je suis pas trop inspirée... j'ai mis "répliquer" sans être trop convaincue.
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », répliquai-je [non, ça ne marche pas… puisque ça n'est pas une réponse à une question // un truc comme « déclarer »].
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informai-je.
(qu'en penses-tu? c'est pas mal, non?)
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informai-je [là, c'est du passé simple ; pour respecter les temps = « informé-je »].
Ça donnerait :
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informé-je.
OK ?
OK pour :
J'ai envoyé quatre-vingt-deux C.V. On ne m'appelle pas. Je déteste qu'on ne me réponde pas, ne serait-ce que pour me dire « non ». Maintenant, je téléphone aux boîtes pour les menacer de la présence d'une bombe dans leur immeuble : « Il y a une bombe dans votre immeuble », les informé-je.
Ouffff !
Bon, je te mets la suite.
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