Sergio levantó a uno de los cachorros por el cuero. Tenía olor a leche, la panza tirante, y enseguida se quedó dormido. Sergio le mostró los cachorros al encargado de la obra.
Traduction temporaire :
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée au chef du chantier.
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée au chef du chantier.
8 commentaires:
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, avait le ventre gonflé et s’endormit aussitôt. Sergio montra les chiots au chef de chantier.
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, avait le ventre gonflé [ou « son ventre était gonflé » ? Je te laisse trancher] et [« il » – en fonction de ce que tu choisis avant] s’endormit aussitôt. Sergio montra les chiots [« la portée », pour éviter de répéter ?] au [ou « à son » ?] chef de chantier.
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée [oui, en effet, d'autant plus que dans la phrase suivante on a encore droit aux cachorros. Mais question : est-ce qu'en essayant de varier on ne modifie pas le "style"? J'ai souvent du mal à déterminer cette limite] à son [por supuesto] chef de chantier.
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée à son chef de chantier.
OK. Tu peux passer à la suite.
Hélène ?
[pour ta question, Audrey : ce genre de répétitions ne relève pas vraiment du style… Par ailleurs, tu sais bien qu'elles passent mieux en espagnol qu'en français. Disons qu'on sert le texte, et donc l'auteur par la même occasion…]
Je voudrais juste revenir sur le dernier possessif. J'y ai réfléchi, et autant l'expression "à son chef" me convient, autant si on rajoute un complément le complément "de chantier", le possessif me gêne un peu. Du coup, j'hésiterais plus entre "au chef de chantier " et "au chef du chantier".
Hélène ?
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée au chef du chantier.
Dans ma traduction, j'avais opté pour "au chef du chantier".
Sergio attrapa l’un les chiots par la peau du cou. Il sentait le lait, son ventre était gonflé et il s’endormit aussitôt. Sergio montra la portée au chef du chantier.
OK.
Enregistrer un commentaire