Hablar de cosas, no sé, del polvo que se acumulaba detrás de la televisión, del chino que había visto en el metro al venir a casa, del ficus seco en la terraza, del cuadro que colgaba en el salón con un hombre y una mujer que se besaban, de cómo hacer un buen potaje, de que mañana habría luna llena, de si su barrio estaba cada vez más peligroso, de que le hacía falta detergente.
Traduction temporaire :
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
14 commentaires:
Parler de choses, je ne sais pas, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus sec sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon où un homme et une femme s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il manquait de la lessive.
Parler de choses, je ne sais pas [cheville : « , moi » ?], de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus sec [« mort » ?] sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon où un homme et une femme s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût [tu as vérifié ?], que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il manquait de la lessive [le verbe est mal choisi].
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon où un homme et une femme s'embrassaient, de comment faire un bon plat de légumes secs, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de la lessive.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon où un homme et une femme s'embrassaient [un petit doute : est-ce que là, on comprend bien que c'est sur le tableau et non dans le salon… Ambigu, non ?], de comment faire un bon plat de légumes secs [??????], que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de la [pas besoin de « la »] lessive.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût [mais pourquoi pas « potage », en fait ?], que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
Entre ragoût et potage, je ne savais pas lequel choisir. Mais quand j'entends "potaje", je pense à un plat de pois chiches et pas à une soupe. En même temps, quand j'entends "ragoût", je pense pas à des pois chiches. Qu'est-ce qu'on fait dans ces cas-là ?
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût [mais pourquoi pas « potage », en fait ?], que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
Tu tapes « potaje » dans Google (en t'assurant bien que tu es sur .es) et tu demandes les images… Ça donne quoi ?
Ça donne un plat de viande avec des pois chiches ou des lentilles, ça fait penser au cassoulet mais avec plus de sauce/bouillon.
Bon ben alors « ragoût » ?
Pour l'instant, c'est ce qui s'en rapproche le plus. Ok pour "ragoût".
Remets-moi la phrase en entier.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
Parler de choses, je ne sais pas, moi, de la poussière qui s'accumulait derrière la télévision, du Chinois qu'elle avait vu dans le métro en venant chez lui, du ficus mort sur la terrasse, du tableau accroché dans le salon représentant un homme et une femme qui s'embrassaient, de comment faire un bon ragoût, que demain ce serait la pleine lune, que son quartier était de plus en plus dangereux, qu'il ne restait plus de lessive.
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